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Correction d'un récit

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Correction d'un récit
Message de emmadsr posté le 03-05-2014 à 11:55:10 (S | E | F)
Bonjour/Bonsoir
Pour la rentrée je dois rentre une partie d'un récit et j'aimerais bien qu'il soit le plus lisible possible Pour ce faire il faut que je corrige mes fautes, après avoir fait des vérifications je me tourne vers vous.
Pourriez vous m'aidez à le corriger ? S'il vous plaît
Merci d'avance et bonne journée !

Il s’appelait Pierre, ce jour là il était au bar du coin, à boire un café, le soleil embaumait la place et il était accompagné d'une de ses amies d'enfance, Juliette. Cela faisait quelques heures qu'ils papotaient, de tout et de rien. Ces deux amis avaient pour habitude de se retrouver ici, au Harry's bar. Et là, Pierre reçu un appel, c'était Thomas Lecoutro, son supérieur. Il lui demanda de le rejoindre en vitesse au poste de police, à Via Circonvallazione. Sa voix tremblait et il semblait paniquer, une goutte de sueur trempa la chemise de Pierre. Il s'excusa au près de Juliette, lui fit la bise et fila en vitesse le rejoindre. Il s’empressa de démarrer sa voiture et pensa combien il était heureux de faire un métier tel que celui ci, il était tellement pressé de faire une deuxième enquête.

Au bout d'un quart d'heure de route il arriva au poste, il vit en entrant une jeune fille et un jeune homme, ils semblaient bouleversés, la jeune fille baissait les yeux et le jeune homme avait ses bras autour de son cou. Puis arriva Thomas, qui, à peine eut le temps de dire bonjour à Pierre, annonça le meurtre d'une jeune femme d'une trentaine d'année, morte éventrée hier soir. Il lui montra la totalité des rapports qui concernait le meurtre, le criminel lui était totalement inconnue, aussi bien son sexe, que son âge. Avec si peu d’élément Thomas n'était que très peu confiant, en revanche il reprocha à Pierre d'être calme. Il lui répondit que cela ne servait à rien de s'affoler et qu'il valait mieux se concentrer sur les choses essentielles de l'enquête. Il se tut et se dirigea vers la sortie Aux environs de 16h30, ils étaient arrivés au Ca'd'Oro, là où s'était déroulé le meurtre. Sur place, se trouvait la brigade de police, l'inspecteur Lecoutro alla demander à l'un d'entre eux s'ils avaient trouvés des informations supplémentaires qui pourraient faire avancer l'enquête, Pierre ne savait pas exactement ce qu'il répondit mais cela semblait être une réponse négative. Thomas prit par le bras Pierre et l'emmena à l'emplacement du corps. La vision du sang n'avait jamais fait peur à Pierre, mais là en revanche, la victime était décapitée, son estomac était à sa droite, ses reins à sa gauche et à la vue de son intestin entremêlé de sang et de boyaux donna un haut le cœur à Pierre. xxxx Horrifiés par la scène de crime, Thomas et Pierre regardaient dans le vide. Son supérieur sortit de sa poche un appareil photo, et photographia le corps. Ce dernier avait pourtant l'habitude de voir de telle scène, mais prit tout de même un moment pour s’asseoir. Après une heure d'inspection des lieux. Le médecin légiste entra dans le bureau de Pierre puis lui donna les photos de la scène de crime, afin qu'il puisse y jeter un coup d’œil avant de rentré chez lui. Pendant environ quarante cinq minutes, il analysa chaque petits détails des images qui lui ont été confié. Il était vingt et une heure vingt cinq, le poste de police était vide, Pierre se sentait faible, la journée avait été dur il décida de rentrer chez lui. Il alluma une cigarette et prit sa voiture, sa maison était à environ vingt minutes du poste. Pierre passa près d'un fast-food et s’arrêta pour manger un peu. Un quart d'heure plus tard il sortit et prit la voiture pour rentré. Arrivé en bas de son appartement, il prit l'ascenseur. Il entra, son chien Ever, qui l'attendait au seuil de la porte, lui sauta dessus. Les yeux de Pierre commençait à se fermer alors il décida d'aller dormir.

Le réveil sonna il était huit heure trente. Il eu a peine le temps de prendre un café qu'il partit au poste. Arrivé, Thomas lui raconta la suite de l'enquête, mais en vérité, elle n'avait pas vraiment avancée, et ce à son plus grand regret. Aujourd'hui Thomas et Pierre allaient interrogé les proches de la victime. Ils se trouvaient dans une salle, ces deux acolytes étaient assis en face des deux sœurs de la victime.
-------------------
Modifié par bridg le 03-05-2014 12:09
retrait de détails non publiables



Réponse: Correction d'un récit de bridg, postée le 03-05-2014 à 13:24:50 (S | E)

Bonjour.
Dans l'ensemble, évitez de faire des phrases trop longues avec des charnières douteuses. Mettez en ordre correct les idées. En réfléchissant un peu vous pouvez combiner vos idées de façon plus harmonieuses. voyons la première phrase :
Il s’appelait Pierre -> c'est inutile.
En groupant vos idées ça pourrait donner :
Ce jour-là le soleil innondait la place. Installé au Harry's bar, Pierre buvait un café en compagnie de Juliette, son amie d'enfance.
1/ vous plantez le décor - 2/ vous y placez les personnages - 3/ vous dites ce que font les personnages -


Je reprends une correction classique, mais tout votre texte est à refonder.


Il s’appelait Pierre, (où mettre un point ou mettre 'et') ce jour là il était au bar du
coin, à boire (peut être mieux formulé) un café,(mettre un point et recommencer une phrase) le soleil embaumait (le soleil n'a pas d'odeur - mauvais mot) la place (et)(mettre un point et recommencer une phrase) il était
accompagné d'une de ses amies d'enfance, Juliette.


Cela faisait quelques
heures qu'ils papotaient, de tout et de rien. Ces (mettre un article défini) deux amis avaient
pour habitude de se retrouver ici, au Harry's bar (Cette idée doit être placée avant la phrase précédents et vous êtes censée avoir déjà présenté le café avant et donné son nom).
Et là,(mal dit) Pierre reçu un
appel (mettre un point et recommencer une phrase) c'était Thomas Lecoutro, son supérieur. Il lui demanda (mettre de l'imparfait) de le
rejoindre en vitesse (dans ce contexte on dit 'au plus vite) au poste de police, à ???  Via Circonvallazione. Sa voix
tremblait et il semblait paniquer (vous changez d'idée, vous changez de phrase), une goutte de sueur trempa la
chemise de Pierre. Il s'excusa au près de Juliette, lui fit la bise et
fila en vitesse le rejoindre. Il s’empressa de démarrer sa voiture et
pensa combien il était heureux de faire un métier tel que celui ci, il
était tellement pressé de faire une deuxième enquête.

Au bout d'un quart d'heure de route il arriva au poste (vous changez d'idée, vous changez de phrase), il vit en
entrant (inversez ces deux actions) une jeune fille et un jeune homme, ils (Mettre un pronom relatif) semblaient bouleversés,(recommencez une autre phrase) la jeune fille baissait les yeux et le jeune homme avait ses bras autour
de son cou. Puis arriva Thomas(inverser le sujet et le verbe et mettre un point pour recommencer une phrase), qui, à peine eut le temps de dire (mettre le participe passé) bonjour à Pierre, (mettre le sujet et un pronom complément) annonça le meurtre d'une jeune femme d'une trentaine
d'année, morte éventrée hier soir. Il lui montra la totalité des
rapports qui concernait (accord) le meurtre,(mettre un point et recommencer une phrase) le criminel lui était totalement
inconnue (accord), aussi bien son sexe, que son âge. Avec si peu d’élément Thomas
n'était que très peu confiant, en revanche (mettre une conjonction de coordination) il reprocha à Pierre d'être
calme. Il ('il' ? C'est qui ?) lui répondit que cela ne servait à rien de s'affoler et qu'il
valait mieux se concentrer sur les choses essentielles de l'enquête. Il
se tut et se dirigea vers la sortie(mettre toute cette phrase au pluriel et terminer par un point) 


Aux environs de 16h30, ils étaient
arrivés au Ca'd'Oro, là où s'était déroulé le meurtre. Sur place, se
trouvait la brigade de police (inverser complètement les élements de cette phrase et mettre un point)  L'inspecteur Lecoutro alla demander à
l'un d'entre eux (ça ne veut rien dire. Mettre un pronom complément pluriel et simplement le verbe au passé simple) s'ils avaient trouvés des informations supplémentaires
qui pourraient faire avancer l'enquête,(recommencez une phrase ici) Pierre ne savait pas exactement
ce qu'il répondit mais cela semblait être une réponse négative. Thomas (mettre un pronom complément pour remplacer Pierre) prit par le bras Pierre et l'emmena à l'emplacement du corps. La vision
du sang n'avait jamais fait peur à Pierre, mais là en revanche, la
victime était décapitée (c'est éventrée, pas décapitée), son estomac était à sa droite, ses reins à sa
gauche, et à la vue de son intestin entremêlé (ça ne veut rien dire) de sang et de boyaux. La vue de ce tableau lui donna
un haut le cœur à Pierre. 


Horrifiés par la scène de crime,
Thomas et Pierre regardaient dans le vide. Son (ils sont deux !) supérieur sortit de sa
poche un appareil photo, et photographia le corps. Ce dernier avait
pourtant l'habitude de voir de telle scène (pluriel), mais prit tout de même un
moment pour s’asseoir. Après une heure d'inspection des lieux.(Pourquoi mettre-vous un point final ici ? ) le
médecin légiste (entra dans le bureau de Pierre puis) (ce détail est totalement illogique puisqu'ils sont sur le scène de crime et non au bureau) lui donna les photos
de la scène de crime afin qu'il puisse y jeter un coup d’œil avant de
rentré (accord) chez lui. Pendant environ quarante cinq minutes, il analysa
chaque petits détails (il y a "chaque", il faut donc du singulier) des images qui lui ont été confié (accord).


Il était vingt
et une heure vingt cinq, le poste de police était vide (terminer cette phrase et en recommencer une autre) Pierre se
sentait faible, la journée avait été dur(accord et terminer cette phrase pour en recommencer une autre) il décida de rentrer chez lui.
Il alluma une cigarette et prit sa voiture,terminer cette phrase pour en recommencer une autre) sa maison était à environ
vingt minutes du poste. Pierre passa près d'un fast-food et s’arrêta
pour manger un peu. Un quart d'heure plus tard il sortit et prit la
voiture pour rentré (accord + l'idée est inutile, on se doute qu'il reprend sa voiture puisqu'il est arrivé en voiture). Arrivé en bas de son appartement,il prit
l'ascenseur.
(ça ne veut rien dire) 
Il entra dans l'appartement. Son chien Ever, qui l'attendait au (mauvaise préposition) seuil de la
porte et lui sauta dessus. Les yeux de Pierre commençait(accord) à se fermer alors
il décida d'aller dormir.

Le réveil sonna il était huit heure trente. Il eu (conjugaison) a (accent) peine le temps de
prendre un café qu'il partit au poste. Arrivé, Thomas lui raconta la
suite de l'enquête, mais en vérité, elle n'avait pas vraiment avancée(accord),
et ce (virgule) à son plus grand regret. Aujourd'hui Thomas et Pierre allaient
interrogé (accord) les proches de la victime. Ils se trouvaient dans une salle,
ces deux acolytes  (mal formulé, ça ne veut rien dire) étaient assis en face des deux sœurs de la victime.





Réponse: Correction d'un récit de emmadsr, postée le 03-05-2014 à 21:49:36 (S | E)
Merci !

Ce jour-là le soleil inondait la place. Installé au Harry's bar, Pierre buvait un café en compagnie de Juliette, son amie d'enfance. Cela faisait quelques heures qu'ils papotaient, de tout et de rien. Pierre reçu un appel. C'était Thomas Lecoutro, son supérieur. Il lui demandait de le rejoindre au plus vite, au poste de police de Via Circonvallazione. Sa voix tremblait et il semblait paniquer. Une goutte de sueur trempa la chemise de Pierre. Il s'excusa au près de Juliette, lui fit la bise et fila en vitesse le rejoindre. Il s’empressa de démarrer sa voiture et pensa combien il était heureux de faire un métier tel que celui ci, il était tellement pressé de faire une deuxième enquête. 

Au bout d'un quart d'heure de route il arriva au poste et vit une jeune fille et un jeune homme, qui semblaient bouleversés. La jeune fille baissait les yeux et le jeune homme avait ses bras autourde son cou. Puis Thomas arriva. Ce dernier, à peine eut le temps de d'avoir dit bonjour à Pierre, qu'il annonça le meurtre d'une jeune femme d'une trentaine d'année, morte éventrée hier soir. Il lui montra la totalité des rapports qui concernaient le meurtre. Le criminel lui était totalement 
inconnu, aussi bien son sexe, que son âge. Avec si peu d’élément Thomas n'était que très peu confiant, mais il reprocha à Pierre d'être calme. L'assistant lui répondit que cela ne servait à rien de s'affoler et qu'il valait mieux se concentrer sur les choses essentielles de l'enquête. Ils se tuent et se dirigèrent vers la sortie.

Aux environs de 16h30, ils étaient arrivés au Ca'd'Oro, là où s'était déroulé le meurtre. L'inspecteur Lecoutro alla voir la brigade de police qui se trouvait sur place. Il leur demanda des informations supplémentaire sur l'enquête. Thomas prit par le bras son assistant et l'emmena à l'emplacement du corps. La vision du sang n'avait jamais fait peur à Pierre, mais là en revanche, la 
victime était éventré, son estomac était à sa droite, ses reins à sa gauche. La vue de ce tableau lui donna  un haut le cœur.

Horrifiés par la scène de crime, Thomas et Pierre regardaient dans le vide. Le supérieur sortit de sa poche un appareil photo, et photographia le corps. Ce dernier avait pourtant l'habitude de voir de telles scènes, mais prit tout de même un moment pour s’asseoir. Après une heure d'inspection des lieux, le 
médecin légiste donna les photos de la scène de crime afin que Lecoutro puisse y jeter un coup d’œil. Il repartit au poste et pendant environ quarante cinq minutes, il analysa chaque petit détail des images qui lui ont été confiées.



Il était vingt et une heure vingt cinq, le poste de police était vide. Pierre se sentait faible, la journée avait été dur. Il décida de rentrer chez lui. Il alluma une cigarette et prit sa voiture. Sa maison était à environ vingt minutes du poste. Pierre passa près d'un fast-food et s’arrêta pour manger un peu. Un quart d'heure plus tard il rentra chez lui. Arrivé à l'entrer de son appartement, son chien Ever qui l'attendait sur le seuil de la porte, lui sauta dessus. Les yeux de Pierre commençaient à se fermer alors il décida d'aller dormir. 

Le réveil sonna il était huit heure trente. Il eut à peine le temps de prendre un café qu'il partit au poste. Arrivé, Thomas lui raconta la suite de l'enquête, mais en vérité, elle n'avait pas vraiment avancée et ce, à son plus grand regret. Aujourd'hui Thomas et Pierre allaient interrogés les proches de la victime. Ils se trouvaient dans une salle, Pierre et son acolyte étaient assis en face des deux sœurs de la victime.









Réponse: Correction d'un récit de jade09, postée le 03-05-2014 à 22:06:44 (S | E)
Bonjour,
j'ai un doute sur cette phrase :
Il s'excusa au près de Juliette.

Est-il correct d'écrire? :
Il s'excusa auprès de Juliette.

Merci



Réponse: Correction d'un récit de jij33, postée le 04-05-2014 à 18:34:11 (S | E)
Bonjour
Ce jour-là le soleil inondait la place. Installé au Harry's bar, Pierre buvait un café en compagnie de Juliette, son amie d'enfance. Cela faisait quelques heures qu'ils papotaient, de tout et de rien. Pierre reçu (verbe conjugué, et non participe) un appel. C'était Thomas Lecoutro, son supérieur. Il lui demandait de le rejoindre au plus vite, au poste de police de Via Circonvallazione. Sa voix tremblait et il semblait paniquer (ici, c'est un participe employé comme adjectif). Une goutte de sueur trempa la chemise de Pierre. Il s'excusa au près de Juliette, lui fit la bise et fila en vitesse le rejoindre. Il s’empressa de démarrer sa voiture et pensa combien il était heureux de faire un métier tel que celui(trait d'union)ci, (remplacer la virgule par les deux-points) il était tellement pressé de faire une deuxième enquête.

Au bout d'un quart d'heure de route (virgule) il arriva au poste et vit une jeune fille et un jeune homme, qui semblaient bouleversés. La jeune fille baissait les yeux et le jeune homme avait ses bras autourde (en deux mots) son cou. Puis Thomas arriva. Ce dernier, à peine eut (supprimer la virgule, placer le verbe avant "à peine", et "prendre le temps" conviendrait mieux qu'"avoir le temps") le temps de d'avoir dit (verbe à l'infinitif présent, et non passé) bonjour à Pierre, qu'il (remplacer par une conjonction de coordination) annonça le meurtre d'une jeune femme d'une trentaine d'année (pluriel), morte éventrée hier (dans un récit écrit, coupé de la situation d'énonciation, on emploie "la veille au soir". "Hier soir" est ancré dans la situation d'énonciation) soir. Il lui montra la totalité des rapports qui concernaient le meurtre. Le criminel lui était totalement
inconnu, aussi bien son sexe, que son âge. Avec si peu d’élément (pluriel) Thomas n'était que très peu confiant, mais il reprocha à Pierre d'être calme. L'assistant lui répondit que cela ne servait à rien de s'affoler et qu'il valait mieux se concentrer sur les choses essentielles de l'enquête. Ils se tuent (verbe se taire, et non se tuer !) et se dirigèrent vers la sortie.

Aux environs de 16h30, ils étaient arrivés au Ca'd'Oro (si vous situez l'action en Italie, dites la Ca d'Oro,"ca" étant le diminutif de "casa" en vénitien), là où s'était déroulé le meurtre. L'inspecteur Lecoutro alla voir la brigade de police qui se trouvait sur place. Il leur demanda des informations supplémentaire (accord) sur l'enquête. Thomas prit par le bras (à déplacer après "assistant") son assistant et l'emmena à l'emplacement (pourquoi pas "auprès" ?) du corps. La vision du sang n'avait jamais fait peur à Pierre, mais là en revanche, la victime était éventré (accord), son estomac était à sa droite, ses reins à sa gauche. La vue de ce tableau lui donna un haut le cœur.
La suite un peu plus tard !



Réponse: Correction d'un récit de jij33, postée le 04-05-2014 à 18:53:10 (S | E)
Horrifiés par la scène de crime, Thomas et Pierre regardaient dans le vide. Le supérieur sortit de sa poche un appareil photo, et photographia le corps. Ce dernier avait pourtant l'habitude de voir de telles scènes, mais prit tout de même un moment pour s’asseoir. Après une heure d'inspection des lieux, le
médecin légiste donna les photos de la scène de crime afin que Lecoutro puisse y jeter un coup d’œil. Il repartit au poste et pendant environ quarante(trait d'union)cinq minutes, il analysa chaque petit détail des images qui lui ont été confiées (plus-que-parfait passif, et non passé composé passif).

Il était vingt et une heure vingt(trait d'union)cinq, le poste de police était vide. Pierre se sentait faible, la journée avait été dur (accord, mais difficile ou pénible seraient préférables). Il décida de rentrer chez lui. Il alluma une cigarette et prit sa voiture. Sa maison était à environ vingt minutes du poste. Pierre passa près d'un fast-food et s’arrêta pour manger un peu. Un quart d'heure plus tard il rentra chez lui. Arrivé à l'entrer de son appartement (phrase grammaticalement mal construite : "arrivé" est apposé à "son chien Ever". Remplacer par une subordonnée conjonctive de temps), son chien Ever (virgule) qui l'attendait sur le seuil de la porte, lui sauta dessus. Les yeux de Pierre commençaient à se fermer (virgule) alors il décida d'aller dormir.

Le réveil sonna il était (à remplacer par une préposition) huit heure trente. Il eut à peine le temps de prendre un café qu'il (tel que vous l'employez, à "peine que" est incorrect : à remplacer par "et") partit au poste. Arrivé (même remarque : c'est Pierre qui arrive et non Thomas), Thomas lui raconta la suite de l'enquête, mais en vérité, elle n'avait pas vraiment avancée (accord du participe employé avec l'auxiliaire avoir) et ce (inutile : à supprimer), à son plus grand regret. Aujourd'hui Thomas et Pierre allaient interrogés les proches de la victime. Ils se trouvaient dans une salle, Pierre et son acolyte (ce mot ne convient pas : un acolyte, c'est quelqu'un qui est complice dans l'accomplissement de mauvaises actions. Est-ce bien ce que vous avez voulu dire ?) étaient assis en face des deux sœurs de la victime.

A vous de jouer !



Réponse: Correction d'un récit de emmadsr, postée le 05-05-2014 à 10:52:03 (S | E)
Ce jour-là le soleil inondait la place. Installé au Harry's bar, Pierre buvait un café en compagnie de Juliette, son amie d'enfance. Cela faisait quelques heures qu'ils papotaient, de tout et de rien. Pierre reçut un appel. C'était Thomas Lecoutro, son supérieur. Il lui demandait de le rejoindre au plus vite, au poste de police de Via Circonvallazione. Sa voix tremblait et il semblait paniqué. Une goutte de sueur trempa la chemise de Pierre. Il s'excusa auprès de Juliette, lui fit la bise et fila en vitesse le rejoindre. Il s’empressa de démarrer sa voiture et pensa combien il était heureux de faire un métier tel que celui-ci : il était tellement pressé de faire une deuxième enquête. 

Au bout d'un quart d'heure de route, il arriva au poste et vit une jeune fille et un jeune homme, qui semblaient bouleversés. La jeune fille baissait les yeux et le jeune homme avait ses bras autour de son cou. Puis Thomas arriva. Ce dernier prit à peine le temps de dire bonjour à Pierre, qu'il(remplacer par une conjonction de coordination : je ne vois pas laquelle mettre..) annonça le meurtre d'une jeune femme d'une trentaine d'années, morte éventrée la veille au soir. Il lui montra la totalité des rapports qui concernaient le meurtre. Le criminel lui était totalement 
inconnu, aussi bien son sexe, que son âge. Avec si peu d’éléments Thomas n'était que très peu confiant, mais il reprocha à Pierre d'être calme. L'assistant lui répondit que cela ne servait à rien de s'affoler et qu'il valait mieux se concentrer sur les choses essentielles de l'enquête. Ils se turent et se dirigèrent vers la sortie.

Aux environs de 16h30, ils étaient arrivés à la Ca'd'Oro, là où s'était déroulé le meurtre. L'inspecteur Lecoutro alla voir la brigade de police qui se trouvait sur place. Il leur demanda des informations supplémentaires sur l'enquête. Thomas prit son assistant par le bras  et l'emmena aurprès du corps. La vision du sang n'avait jamais fait peur à Pierre, mais là en revanche, la victime était éventrée , son estomac était à sa droite, ses reins à sa gauche. La vue de ce tableau lui donna un haut le cœur. 


Horrifiés par la scène de crime, Thomas et Pierre regardaient dans le vide. Le supérieur sortit de sa poche un appareil photo, et photographia le corps. Ce dernier avait pourtant l'habitude de voir de telles scènes, mais prit tout de même un moment pour s’asseoir. Après une heure d'inspection des lieux, le 
médecin légiste donna les photos de la scène de crime afin que Lecoutro puisse y jeter un coup d’œil. Il repartit au poste et pendant environ quarante-cinq minutes, il analysa chaque petit détail des images qui lui avait été confiées.
Il était vingt et une heure vingt-cinq, le poste de police était vide. Pierre se sentait faible, la journée avait été difficile. Il décida de rentrer chez lui. Il alluma une cigarette et prit sa voiture. Sa maison était à environ vingt minutes du poste. Pierre passa près d'un fast-food et s’arrêta pour manger un peu. Un quart d'heure plus tard il rentra chez lui. Il ouvrit la porte. Son chien Ever, qui l'attendait sur le seuil de la porte, lui sauta dessus. Les yeux de Pierre commençaient à se fermer, alors il décida d'aller dormir. 

Le réveil sonna à huit heure trente. Il eut à peine le temps de prendre un café et partit au poste. Pierre arriva. Thomas lui raconta la suite de l'enquête, mais en vérité, elle n'avait pas vraiment avancé, à son plus grand regret. Aujourd'hui Thomas et Pierre allaient interrogé les proches de la victime. Ils se trouvaient dans une salle, Pierre et son supérieur étaient assis en face des deux sœurs de la victime.


Merci beaucoup



Réponse: Correction d'un récit de jij33, postée le 05-05-2014 à 12:01:00 (S | E)
Bonjour emmadsr
quelle amélioration !

Ce jour-là le soleil inondait la place. Installé au Harry's bar, Pierre buvait un café en compagnie de Juliette, son amie d'enfance. Cela faisait quelques heures qu'ils papotaient, de tout et de rien. Pierre reçut un appel. C'était Thomas Lecoutro, son supérieur. Il lui demandait de le rejoindre au plus vite, au poste de police de Via Circonvallazione. Sa voix tremblait et il semblait paniqué. Une goutte de sueur trempa la chemise de Pierre. Il s'excusa auprès de Juliette, lui fit la bise et fila en vitesse le rejoindre. Il s’empressa de démarrer sa voiture et pensa combien il était heureux de faire un métier tel que celui-ci : il était tellement pressé de faire une deuxième enquête. (Point d'exclamation)

Au bout d'un quart d'heure de route, il arriva au poste et vit une jeune fille et un jeune homme, qui semblaient bouleversés. La jeune fille baissait les yeux et le jeune homme avait ses bras autour de son cou. Puis Thomas arriva. Ce dernier prit à peine le temps de dire bonjour à Pierre, (qu'il(remplacer par une conjonction de coordination : je ne vois pas laquelle mettre..)) et (tout simplement ! ) annonça le meurtre d'une jeune femme d'une trentaine d'années, morte éventrée la veille au soir. Il lui montra la totalité des rapports qui concernaient le meurtre. Le criminel lui était totalement inconnu, aussi bien son sexe, que son âge. Avec si peu d’éléments Thomas n'était que très peu confiant, mais il reprocha à Pierre d'être calme. L'assistant lui répondit que cela ne servait à rien de s'affoler et qu'il valait mieux se concentrer sur les choses essentielles de l'enquête. Ils se turent et se dirigèrent vers la sortie.

Bonne fin de correction.
Aux environs de 16h30, ils étaient arrivés à la Ca'd'Oro, là où s'était déroulé le meurtre. L'inspecteur Lecoutro alla voir la brigade de police qui se trouvait sur place. Il leur demanda des informations supplémentaires sur l'enquête. Thomas prit son assistant par le bras et l'emmena aurprès (faute de frappe) du corps. La vision du sang n'avait jamais fait peur à Pierre, mais là en revanche, la victime était éventrée , son estomac était à sa droite, ses reins à sa gauche. La vue de ce tableau lui donna un haut le cœur (j'ai oublié de vous signaler qu'il manque deux traits d'union).

Horrifiés par la scène de crime, Thomas et Pierre regardaient dans le vide. Le supérieur sortit de sa poche un appareil photo, et photographia le corps. Ce dernier avait pourtant l'habitude de voir de telles scènes, mais prit tout de même un moment pour s’asseoir. Après une heure d'inspection des lieux, le
médecin légiste donna les photos de la scène de crime afin que Lecoutro puisse y jeter un coup d’œil. Il repartit au poste et pendant environ quarante-cinq minutes, il analysa chaque petit détail des images qui lui avait été confiées.
Il était vingt et une heure vingt-cinq, le poste de police était vide. Pierre se sentait faible, la journée avait été difficile. Il décida de rentrer chez lui. Il alluma une cigarette et prit sa voiture. Sa maison était à environ vingt minutes du poste. Pierre passa près d'un fast-food et s’arrêta pour manger un peu. Un quart d'heure plus tard il rentra chez lui. Il ouvrit la porte. Son chien Ever, qui l'attendait sur le seuil de la porte, lui sauta dessus. Les yeux de Pierre commençaient à se fermer, alors il décida d'aller dormir.

Le réveil sonna à huit heure trente. Il eut à peine le temps de prendre un café et partit au poste. Pierre arriva. Thomas lui raconta la suite de l'enquête, mais en vérité, elle n'avait pas vraiment avancé, à son plus grand regret. Aujourd'hui Thomas et Pierre allaient interrogé (quand deux verbes se suivent, le second est à l'infinitif : je suis sûre que vous le saviez... Thomas et Pierre allaient venir !) les proches de la victime. Ils se trouvaient dans une salle, Pierre et son supérieur étaient assis en face des deux sœurs de la victime.

Bonne fin de correction







Réponse: Correction d'un récit de emmadsr, postée le 05-05-2014 à 19:08:03 (S | E)
Ce jour-là le soleil inondait la place. Installé au Harry's bar, Pierre buvait un café en compagnie de Juliette, son amie d'enfance. Cela faisait quelques heures qu'ils papotaient, de tout et de rien. Pierre reçut un appel. C'était Thomas Lecoutro, son supérieur. Il lui demandait de le rejoindre au plus vite, au poste de police de Via Circonvallazione. Sa voix tremblait et il semblait paniqué. Une goutte de sueur trempa la chemise de Pierre. Il s'excusa auprès de Juliette, lui fit la bise et fila en vitesse le rejoindre. Il s’empressa de démarrer sa voiture et pensa combien il était heureux de faire un métier tel que celui-ci : il était tellement pressé de faire une deuxième enquête !

Au bout d'un quart d'heure de route, il arriva au poste et vit une jeune fille et un jeune homme, qui semblaient bouleversés. La jeune fille baissait les yeux et le jeune homme avait ses bras autour de son cou. Puis Thomas arriva. Ce dernier prit à peine le temps de dire bonjour à Pierre,  et annonça le meurtre d'une jeune femme d'une trentaine d'années, morte éventrée la veille au soir. Il lui montra la totalité des rapports qui concernaient le meurtre. Le criminel lui était totalement inconnu, aussi bien son sexe, que son âge. Avec si peu d’éléments Thomas n'était que très peu confiant, mais il reprocha à Pierre d'être calme. L'assistant lui répondit que cela ne servait à rien de s'affoler et qu'il valait mieux se concentrer sur les choses essentielles de l'enquête. Ils se turent et se dirigèrent vers la sortie.


Aux environs de 16h30, ils étaient arrivés à la Ca'd'Oro, là où s'était déroulé le meurtre. L'inspecteur Lecoutro alla voir la brigade de police qui se trouvait sur place. Il leur demanda des informations supplémentaires sur l'enquête. Thomas prit son assistant par le bras et l'emmena auprès du corps. La vision du sang n'avait jamais fait peur à Pierre, mais là en revanche, la victime était éventrée , son estomac était à sa droite, ses reins à sa gauche. La vue de ce tableau lui donna un haut-le-coeur
Horrifiés par la scène de crime, Thomas et Pierre regardaient dans le vide. Le supérieur sortit de sa poche un appareil photo, et photographia le corps. Ce dernier avait pourtant l'habitude de voir de telles scènes, mais prit tout de même un moment pour s’asseoir. Après une heure d'inspection des lieux, le 
médecin légiste donna les photos de la scène de crime afin que Lecoutro puisse y jeter un coup d’œil. Il repartit au poste et pendant environ quarante-cinq minutes, il analysa chaque petit détail des images qui lui avait été confiées.
Il était vingt et une heure vingt-cinq, le poste de police était vide. Pierre se sentait faible, la journée avait été difficile. Il décida de rentrer chez lui. Il alluma une cigarette et prit sa voiture. Sa maison était à environ vingt minutes du poste. Pierre passa près d'un fast-food et s’arrêta pour manger un peu. Un quart d'heure plus tard il rentra chez lui. Il ouvrit la porte. Son chien Ever, qui l'attendait sur le seuil de la porte, lui sauta dessus. Les yeux de Pierre commençaient à se fermer, alors il décida d'aller dormir. 

Le réveil sonna à huit heure trente. Il eut à peine le temps de prendre un café et partit au poste. Pierre arriva. Thomas lui raconta la suite de l'enquête, mais en vérité, elle n'avait pas vraiment avancé, à son plus grand regret. Aujourd'hui Thomas et Pierre allaient interroger les proches de la victime. Ils se trouvaient dans une salle, Pierre et son supérieur étaient assis en face des deux sœurs de la victime.

Et voilà ! Je vous remercie, c'est très gentil !




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