Demande de correction
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Message de lakuob posté le 23-04-2019 à 23:31:58 (S | E | F)
Bonjour les amis,
Je viens de lire un article dans le journal Le Monde publié le mardi 16 avril 2019. Il s’agit d’un dossier consacré au plastique. L’article prend deux pages du journal, il est un peu long, c’est pourquoi je me suis focalisé sur des paragraphes bien précis.
Les images montrant des espèces mangeant des déchets ou prisonniers de sacs de plastiques on fait le tour du monde et suscité des réactions multiples.
Aujourd’hui nous ne pouvons pas dire à nos enfants et aux générations à venir que nous n’étions pas au courant des dangers engendrés par le plastique ou qu’on ne pouvait pas réagir face à ce phénomène dangereux que ce soit pour l’être humain, les animaux ou pour la nature.
Dans un rapport publié en 201 8, les Nations unies voulaient tirer la sonnette d’alarme sur la pollution des océans par les déchets en plastique qui reste selon ce document l’un des plus grands fléaux environnementaux de notre temps.
D’où la question : Pouvons–nous dire que l’âge du plastique à tout-va touche à sa fin ?
L’Alliance internationale pour l’élimination des déchets plastiques, qui regroupe une trentaine d’entreprises internationales, a vu le jour l’été 2018 et a fixé comme objectif le traitement des problèmes causés par cette matière.
L’opinion publique et les ONG ont joué un rôle crucial dans la guerre contre le plastique. De plus, ils ont poussé les gouvernements, les organisations internationales et les grandes firmes à prendre au sérieux les problèmes de cette matière. Par ailleurs, nous remarquons de nos jours un changement radical d’habitude de consommation, à cela s’ajoute une interdiction graduelle de l’usage de plastique.
La Surfrider Foundation a inauguré en 2011 l’opération « Ban the Bag » («Interdison les sacs»). Le résultat de cette compagne était une directive européenne en 2015 incitant les pays membres de à réduire l’usage de sec plastique. Dans l’Hexagone, on a interdit complètement les sacs en plastique de caisse dans les grandes surfaces à partir du premier juillet 2019.
Les plastiques d’emballage ou plastique à usage unique a représenté en 2016, d’après un document du WWF, 40% de la production mondiale, et ils occupent une bonne place parmi les 8 millions de tonnes de plastiques qui ont comme destination finale les océans.
C’est la raison pour laquelle 170 pays se sont mis d’accord en mars de cette année à Nairobi à réduire les plastiques a usage unique d’ici à 2030/ L’Union Européenne a franchi le pas en interdisant définitivement ces plastiques à partir de 2021.
L’accélération des interdictions s’explique par une émergence d’un risque sanitaire.
En 2018, les Nations Unies ont mis le point dans un document sur la possiblité de le perméabilité de notre chaine alimentaire au plastique par l’intermédiaire des microplastiques consommés par les poissons, et aux produits chimiques ajoutés lors de la fabrication du plastique.
Message de lakuob posté le 23-04-2019 à 23:31:58 (S | E | F)
Bonjour les amis,
Je viens de lire un article dans le journal Le Monde publié le mardi 16 avril 2019. Il s’agit d’un dossier consacré au plastique. L’article prend deux pages du journal, il est un peu long, c’est pourquoi je me suis focalisé sur des paragraphes bien précis.
Les images montrant des espèces mangeant des déchets ou prisonniers de sacs de plastiques on fait le tour du monde et suscité des réactions multiples.
Aujourd’hui nous ne pouvons pas dire à nos enfants et aux générations à venir que nous n’étions pas au courant des dangers engendrés par le plastique ou qu’on ne pouvait pas réagir face à ce phénomène dangereux que ce soit pour l’être humain, les animaux ou pour la nature.
Dans un rapport publié en 201 8, les Nations unies voulaient tirer la sonnette d’alarme sur la pollution des océans par les déchets en plastique qui reste selon ce document l’un des plus grands fléaux environnementaux de notre temps.
D’où la question : Pouvons–nous dire que l’âge du plastique à tout-va touche à sa fin ?
L’Alliance internationale pour l’élimination des déchets plastiques, qui regroupe une trentaine d’entreprises internationales, a vu le jour l’été 2018 et a fixé comme objectif le traitement des problèmes causés par cette matière.
L’opinion publique et les ONG ont joué un rôle crucial dans la guerre contre le plastique. De plus, ils ont poussé les gouvernements, les organisations internationales et les grandes firmes à prendre au sérieux les problèmes de cette matière. Par ailleurs, nous remarquons de nos jours un changement radical d’habitude de consommation, à cela s’ajoute une interdiction graduelle de l’usage de plastique.
La Surfrider Foundation a inauguré en 2011 l’opération « Ban the Bag » («Interdison les sacs»). Le résultat de cette compagne était une directive européenne en 2015 incitant les pays membres de à réduire l’usage de sec plastique. Dans l’Hexagone, on a interdit complètement les sacs en plastique de caisse dans les grandes surfaces à partir du premier juillet 2019.
Les plastiques d’emballage ou plastique à usage unique a représenté en 2016, d’après un document du WWF, 40% de la production mondiale, et ils occupent une bonne place parmi les 8 millions de tonnes de plastiques qui ont comme destination finale les océans.
C’est la raison pour laquelle 170 pays se sont mis d’accord en mars de cette année à Nairobi à réduire les plastiques a usage unique d’ici à 2030/ L’Union Européenne a franchi le pas en interdisant définitivement ces plastiques à partir de 2021.
L’accélération des interdictions s’explique par une émergence d’un risque sanitaire.
En 2018, les Nations Unies ont mis le point dans un document sur la possiblité de le perméabilité de notre chaine alimentaire au plastique par l’intermédiaire des microplastiques consommés par les poissons, et aux produits chimiques ajoutés lors de la fabrication du plastique.
Réponse : Demande de correction de gerondif, postée le 23-04-2019 à 23:43:45 (S | E)
Bonsoir
erreurs en bleu
Les images montrant des espèces mangeant des déchets ou prisonniers de sacs de plastiques on fait le tour du monde et suscité des réactions multiples.
Aujourd’hui nous ne pouvons pas dire à nos enfants et aux générations à venir que nous n’étions pas au courant des dangers engendrés par le plastique ou qu’on ne pouvait pas réagir face à ce phénomène dangereux que ce soit pour l’être humain, les animaux ou pour la nature.
Dans un rapport publié en 2018, les Nations unies voulaient tirer la sonnette d’alarme sur la pollution des océans par les déchets en plastique qui reste selon ce document l’un des plus grands fléaux environnementaux de notre temps.
D’où la question : Pouvons–nous dire que l’âge du plastique à tout-va touche à sa fin ?
L’Alliance internationale pour l’élimination des déchets plastiques, qui regroupe une trentaine d’entreprises internationales, a vu le jour l’été 2018(familier) et a fixé comme objectif le traitement des problèmes causés par cette matière.
L’opinion publique et les ONG ont joué un rôle crucial dans la guerre contre le plastique. De plus, ils ont poussé les gouvernements, les organisations internationales et les grandes firmes à prendre au sérieux les problèmes de cette matière. Par ailleurs, nous remarquons de nos jours un changement radical d’habitude(pluriel) de consommation, à cela s’ajoute une interdiction graduelle de l’usage de plastique.
La Surfrider Foundation a inauguré en 2011 l’opération « Ban the Bag » («Interdison les sacs»). Le résultat de cette compagne(campagne ou compagne ???) était une directive européenne en 2015 incitant les pays membres de à réduire l’usage de sec plastique. Dans l’Hexagone, on a interdit complètement les sacs en plastique de caisse(inversez) dans les grandes surfaces à partir du premier juillet 2019.
Les plastiques d’emballage ou plastique à usage unique a(pluriel) représenté en 2016, d’après un document du WWF, 40% de la production mondiale, et ils occupent une bonne place parmi les 8 millions de tonnes de plastiques qui ont comme destination finale les océans.
C’est la raison pour laquelle 170 pays se sont mis d’accord en mars de cette année à Nairobi à(à changer) réduire les plastiques a usage unique d’ici à 2030/ L’Union Européenne a franchi le pas en interdisant définitivement ces plastiques à partir de 2021.
L’accélération des interdictions s’explique par une émergence d’un risque sanitaire.
En 2018, les Nations Unies ont mis le point(vous confondez mettre au point et mettre le doigt sur) dans un document sur la possiblité de le perméabilité de notre chaine alimentaire au plastique par l’intermédiaire des microplastiques consommés par les poissons, et aux produits chimiques ajoutés lors de la fabrication du plastique.
Réponse : Demande de correction de lakuob, postée le 24-04-2019 à 11:39:35 (S | E)
Bonjour,
tout d'abord, je vous remercie beaucoup pour votre effort. Ensuite, parceque j'ai pas compris votre remarque(a vu le jour l’été 2018(familier) ), j'ai pensé a reformuler tout le paragraphe.
Voila maintenant mon texte.
Les images montrant des espèces mangeant des déchets ou prisonniers de sacs de plastiques ont fait le tour du monde et suscité des réactions multiples.
Aujourd’hui nous ne pouvons pas dire à nos enfants et aux générations à venir que nous n’étions pas au courant des dangers engendrés par le plastique ou qu’on ne pouvait pas réagir face à ce phénomène dangereux que ce soit pour l’être humain, les animaux ou pour la nature.
Dans un rapport publié en 2018, les Nations unies voulaient tirer la sonnette d’alarme sur la pollution des océans par les déchets en plastique qui reste selon ce document l’un des plus grands fléaux environnementaux de notre temps.
D’où la question : Pouvons–nous dire que l’âge du plastique à tout-va touche à sa fin ?
L’Alliance internationale pour l’élimination des déchets plastiques a vu le jour l’été 2018. Cette organisation regroupe une trentaine d’entreprises internationales, et a fixé comme objectif majeur, dès le début de ces activités, le traitement des problèmes liés à cette matière.
L’opinion publique et les ONG ont joué un rôle crucial dans la guerre contre le plastique. De plus, ils ont poussé les gouvernements, les organisations internationales et les grandes firmes à prendre au sérieux les problèmes de cette matière. Par ailleurs, nous remarquons de nos jours un changement radical d’habitudes de consommation, à cela s’ajoute une interdiction graduelle de l’usage de plastique.
La Surfrider Foundation a inauguré en 2011 l’opération « Ban the Bag » («Interdisons les sacs»). Le résultat de cette campagne était une directive européenne en 2015 incitant les pays membres à réduire l’usage de sac plastique. Dans l’Hexagone, on a interdit complètement les sacs de caisse en plastique dans les grandes surfaces à partir du premier juillet 2019.
Les plastiques d’emballage ou plastique à usage unique ont représenté en 2016, d’après un document du WWF, 40% de la production mondiale, et ils occupent une bonne place parmi les 8 millions de tonnes de plastiques qui ont comme destination finale les océans.
C’est la raison pour laquelle 170 pays se sont mis d’accord en mars de cette année à Nairobi pour réduire les plastiques a usage unique d’ici à 2030/ L’Union Européenne a franchi le pas en interdisant définitivement ces plastiques à partir de 2021.
L’accélération des interdictions s’explique par une émergence d’un risque sanitaire.
En 2018, les Nations Unies ont mis le doigt sur la possibilité de la perméabilité de notre chaine alimentaire au plastique par l’intermédiaire des microplastiques consommés par les poissons, et aux produits chimiques ajoutés lors de la fabrication du plastique.
Réponse : Demande de correction de gerondif, postée le 24-04-2019 à 12:17:32 (S | E)
Bonjour
tout d'abord, je vous remercie beaucoup pour votre effort. Souvent, cette expression est utilisée de façon ironique par rapport à quelqu'un de pas très doué qui ne sait pas faire grand-chose. Je préférerais merci pour votre aide, qui est neutre.
Ensuite, parce que j'ai pas compris( vous faites souvent cette erreur, de manger le ne, ce qui se fait souvent à l'oral ou en langage relâché; Je N'ai pas compris.) votre remarque(a vu le jour l’été 2018(familier) un jour d'été en 2018, ), j'ai pensé a reformuler tout le paragraphe.
Voila maintenant mon texte.
Les images montrant des espèces mangeant des déchets ou prisonniers de sacs de plastiques ont fait le tour du monde et suscité des réactions multiples./ de multiples réactions.
Aujourd’hui (virgule) nous ne pouvons pas dire à nos enfants et aux générations à venir que nous n’étions pas au courant des dangers engendrés par le plastique ou qu’on ne pouvait pas réagir face à ce phénomène dangereux que ce soit pour l’être humain, les animaux ou pour la nature.
Dans un rapport publié en 2018, les Nations unies voulaient(passé composé) tirer la sonnette d’alarme sur la pollution des océans par les déchets en plastique qui reste selon ce document l’un des plus grands fléaux environnementaux de notre temps.
D’où la question : Pouvons–nous dire que l’âge du plastique à tout-va touche à sa fin ?
L’Alliance internationale pour l’élimination des déchets plastiques a vu le jour l’ en été 2018. Cette organisation regroupe une trentaine d’entreprises internationales, et a fixé comme objectif majeur, dès le début de ces activités, le traitement des problèmes liés à cette matière.
L’opinion publique et les ONG ont joué un rôle crucial dans la guerre contre le plastique. De plus, ils ont poussé les gouvernements, les organisations internationales et les grandes firmes à prendre au sérieux les problèmes de cette matière. Par ailleurs, nous remarquons de nos jours un changement radical d’habitudes de consommation,(point) à cela s’ajoute une interdiction graduelle de l’usage de plastique.
La Surfrider Foundation a inauguré en 2011 l’opération « Ban the Bag » («Interdisons les sacs»). Le résultat de cette campagne était(passé simple) une directive européenne en 2015 incitant les pays membres à réduire l’usage de sac plastique(pluriel). Dans l’Hexagone, on a interdit complètement les sacs de caisse en plastique dans les grandes surfaces à partir du premier juillet 2019. (Les sacs plastique à usage unique sont donc interdits aux caisses à compter du 1er juillet 2016.)
Les plastiques d’emballage ou en plastique à usage unique ont représenté en 2016, d’après un document du WWF, 40% de la production mondiale, et ils occupent une bonne place parmi les 8 millions de tonnes de plastiques qui ont comme destination finale les océans.
C’est la raison pour laquelle 170 pays se sont mis d’accord en mars de cette année à Nairobi pour réduire les plastiques a usage unique d’ici à 2030/ L’Union Européenne a franchi le pas en interdisant définitivement ces plastiques à partir de 2021.
L’accélération des interdictions s’explique par une émergence d’un risque sanitaire.
En 2018, les Nations Unies ont mis le doigt sur la possibilité de la perméabilité de notre chaine alimentaire au plastique par l’intermédiaire des microplastiques consommés par les poissons et aux produits chimiques ajoutés lors de la fabrication du plastique.
Réponse : Demande de correction de lakuob, postée le 24-04-2019 à 12:59:34 (S | E)
Bonjour,
(vous lisez mes idéees ! Je me rougie des fois lorsque je vois le genre de fautes que je fais !)
Tout d'abord, merci pour votre aide. Ensuite, parce que je n’ai pas bien compris votre remarque(a vu le jour l’été 2018(familier) un jour d'été en 2018, ), j'ai pensé a reformuler tout le paragraphe.
Voila maintenant mon texte.
Les images montrant des espèces mangeant des déchets ou prisonniers de sacs de plastiques ont fait le tour du monde et suscité des réactions multiples multiples.
Aujourd’hui, nous ne pouvons pas dire à nos enfants et aux générations à venir que nous n’étions pas au courant des dangers engendrés par le plastique ou qu’on ne pouvait pas réagir face à ce phénomène dangereux que ce soit pour l’être humain, les animaux ou pour la nature.
Dans un rapport publié en 2018, les Nations unies ont voulu tirer la sonnette d’alarme sur la pollution des océans par les déchets en plastique qui reste selon ce document l’un des plus grands fléaux environnementaux de notre temps.
D’où la question : Pouvons–nous dire que l’âge du plastique à tout-va touche à sa fin ?
L’Alliance internationale pour l’élimination des déchets plastiques a vu le jour en été 2018. Cette organisation regroupe une trentaine d’entreprises internationales, et a fixé comme objectif majeur, dès le début de ces activités, le traitement des problèmes liés à cette matière.
L’opinion publique et les ONG ont joué un rôle crucial dans la guerre contre le plastique. De plus, ils ont poussé les gouvernements, les organisations internationales et les grandes firmes à prendre au sérieux les problèmes de cette matière. Par ailleurs, nous remarquons de nos jours un changement radical d’habitudes de consommation. À cela s’ajoute une interdiction graduelle de l’usage de plastique.
La Surfrider Foundation a inauguré en 2011 l’opération « Ban the Bag » («Interdisons les sacs»). Le résultat de cette campagne fut une directive européenne en 2015 incitant les pays membres à réduire l’usage de sacs plastiques. Dans l’Hexagone, on a interdit complètement les sacs de caisse en plastique dans les grandes surfaces à partir du premier juillet 2016.
Les plastiques d’emballage en plastique à usage unique ont représenté en 2016, d’après un document du WWF, 40% de la production mondiale, et ils occupent une bonne place parmi les 8 millions de tonnes de plastiques qui ont comme destination finale les océans.
C’est la raison pour laquelle 170 pays se sont mis d’accord en mars de cette année à Nairobi pour réduire les plastiques a usage unique d’ici à 2030/ L’Union Européenne a franchi le pas en interdisant définitivement ces plastiques à partir de 2021.
L’accélération des interdictions s’explique par une émergence d’un risque sanitaire.
En 2018, les Nations Unies ont mis le doigt sur la possibilité de la perméabilité de notre chaine alimentaire au plastique par l’intermédiaire des microplastiques consommés par les poissons et aux produits chimiques ajoutés lors de la fabrication du plastique.
Réponse : Demande de correction de gerondif, postée le 24-04-2019 à 14:11:28 (S | E)
Bonjour
(vous lisez mes idéees ! Je me rougie(ne se dit pas. La conjugaison en ie non plus ! on dit je rougis) des fois (trop familier. parfois)lorsque je vois le genre de fautes que je fais !)
Tout d'abord, merci pour votre aide. Ensuite, parce que je n’ai pas bien compris votre remarque(a vu le jour l’été 2018(familier) un jour d'été en 2018, ), j'ai pensé a(accent) reformuler tout le paragraphe.
Voila maintenant mon texte.
Les images montrant des espèces mangeant des déchets ou prisonniers de sacs de plastiques ont fait le tour du monde et suscité des réactions multiples / de multiples réactions.
Aujourd’hui, nous ne pouvons pas dire à nos enfants et aux générations à venir que nous n’étions pas au courant des dangers engendrés par le plastique ou qu’on ne pouvait pas réagir face à ce phénomène dangereux que ce soit pour l’être humain, les animaux ou pour la nature.
Dans un rapport publié en 2018, les Nations unies ont voulu tirer la sonnette d’alarme sur la pollution des océans par les déchets en plastique qui reste selon ce document l’un des plus grands fléaux environnementaux de notre temps.
D’où la question : Pouvons–nous dire que l’âge du plastique à tout-va touche à sa fin ?
L’Alliance internationale pour l’élimination des déchets plastiques a vu le jour en été 2018. Cette organisation regroupe une trentaine d’entreprises internationales, et a fixé comme objectif majeur, dès le début de ces activités, le traitement des problèmes liés à cette matière.
L’opinion publique et les ONG ont joué un rôle crucial dans la guerre contre le plastique. De plus, ils ont poussé les gouvernements, les organisations internationales et les grandes firmes à prendre au sérieux les problèmes de cette matière. Par ailleurs, nous remarquons de nos jours un changement radical d’habitudes de consommation. À cela s’ajoute une interdiction graduelle de l’usage de plastique.
La Surfrider Foundation a inauguré en 2011 l’opération « Ban the Bag » («Interdisons les sacs»). Le résultat de cette campagne fut une directive européenne en 2015 incitant les pays membres à réduire l’usage de sacs plastiques. Dans l’Hexagone, on a interdit complètement les sacs de caisse en plastique dans les grandes surfaces à partir du premier juillet 2016.
Les plastiques d’emballage en plastique(à ôter) à usage unique ont représenté en 2016, d’après un document du WWF, 40% de la production mondiale, et ils occupent une bonne place parmi les 8 millions de tonnes de plastiques qui ont comme destination finale les océans.
C’est la raison pour laquelle 170 pays se sont mis d’accord en mars de cette année à Nairobi pour réduire les plastiques a usage unique d’ici à 2030/(pourquoi ce slash ?) L’Union Européenne a franchi le pas en interdisant définitivement ces plastiques à partir de 2021.
L’accélération des interdictions s’explique par une émergence d’un risque sanitaire.
En 2018, les Nations Unies ont mis le doigt sur la possibilité de la perméabilité de notre chaine alimentaire au plastique par l’intermédiaire des microplastiques consommés par les poissons et aux produits chimiques ajoutés lors de la fabrication du plastique.
Réponse : Demande de correction de lakuob, postée le 24-04-2019 à 14:36:14 (S | E)
Bonjour
(vous lisez mes idées ! Je rougis des fois lorsque je vois le genre de fautes que je fais !)
Tout d'abord, merci pour votre aide. Ensuite, parce que je n’ai pas bien compris votre remarque(a vu le jour l’été 2018(familier) un jour d'été en 2018, ), j'ai pensé à reformuler tout le paragraphe.
Voila maintenant mon texte.
Les images montrant des espèces mangeant des déchets ou prisonniers de sacs de plastiques ont fait le tour du monde et suscité de multiples réactions.
Aujourd’hui, nous ne pouvons pas dire à nos enfants et aux générations à venir que nous n’étions pas au courant des dangers engendrés par le plastique ou qu’on ne pouvait pas réagir face à ce phénomène dangereux que ce soit pour l’être humain, les animaux ou pour la nature.
Dans un rapport publié en 2018, les Nations Unies ont voulu tirer la sonnette d’alarme sur la pollution des océans par les déchets en plastique qui reste selon ce document l’un des plus grands fléaux environnementaux de notre temps.
D’où la question : Pouvons–nous dire que l’âge du plastique à tout-va touche à sa fin ?
L’Alliance internationale pour l’élimination des déchets plastiques a vu le jour en été 2018. Cette organisation regroupe une trentaine d’entreprises internationales, et a fixé comme objectif majeur, dès le début de ces activités, le traitement des problèmes liés à cette matière.
L’opinion publique et les ONG ont joué un rôle crucial dans la guerre contre le plastique. De plus, ils ont poussé les gouvernements, les organisations internationales et les grandes firmes à prendre au sérieux les problèmes de cette matière. Par ailleurs, nous remarquons de nos jours un changement radical d’habitudes de consommation. À cela s’ajoute une interdiction graduelle de l’usage de plastique.
La Surfrider Foundation a inauguré en 2011 l’opération « Ban the Bag » («Interdisons les sacs»). Le résultat de cette campagne fut une directive européenne en 2015 incitant les pays membres à réduire l’usage de sacs plastiques. Dans l’Hexagone, on a interdit complètement les sacs de caisse en plastique dans les grandes surfaces à partir du premier juillet 2016.
Les plastiques d’emballage à usage unique ont représenté en 2016, d’après un document du WWF, 40% de la production mondiale, et ils occupent une bonne place parmi les 8 millions de tonnes de plastiques qui ont comme destination finale les océans.
C’est la raison pour laquelle 170 pays se sont mis d’accord en mars de cette année à Nairobi pour réduire les plastiques a usage unique d’ici à 2030. L’Union Européenne a franchi le pas en interdisant définitivement ces plastiques à partir de 2021.
L’accélération des interdictions s’explique par une émergence d’un risque sanitaire.
En 2018, les Nations Unies ont mis le doigt sur la possibilité de la perméabilité de notre chaine alimentaire au plastique par l’intermédiaire des microplastiques consommés par les poissons et aux produits chimiques ajoutés lors de la fabrication du plastique.
Réponse : Demande de correction de gerondif, postée le 24-04-2019 à 15:00:55 (S | E)
Bonjour
Je rougis des fois(trop familier, à remplacer par parfois) lorsque je vois le genre de fautes que je fais !)
Tout d'abord, merci pour votre aide. Ensuite, parce que je n’ai pas bien compris votre remarque(a vu le jour l’été 2018(familier) un jour d'été en 2018, était la correction ), j'ai pensé à reformuler tout le paragraphe.
L’accélération des interdictions s’explique par une l'émergence d’un risque sanitaire.
Je ne sais pas si le résumé d'articles est la meilleure façon d'améliorer son français, parce que finalement, vous réassemblez des phrases et structures qui ne sont pas les vôtres, et on voit moins vos éventuelles lacunes.
Mais c'est un exercice agréable à faire, comme quand je fais les mots fléchés du site notre temps, où on voit tout de suite si le mot sera juste ou pas selon que l'ordinateur l'accepte ou non, et puis, on a une manette pour tricher et faire apparaitre le mot, et on peut prendre le jeu à différents niveaux...
Ah, une erreur repérée par josefa66 :
L’opinion publique (féminin) et les ONG (organisations non gouvernementales, féminin) ont joué un rôle crucial dans la guerre contre le plastique. De plus, ils (masculin ??)ont poussé les gouvernements,...
Réponse : Demande de correction de lakuob, postée le 24-04-2019 à 18:15:16 (S | E)
Bonjour,
(vous lisez mes idées ! Je rougis parfois lorsque je vois le genre de fautes que je fais !)
Tout d'abord, merci pour votre aide. Ensuite, parce que je n’ai pas bien compris votre remarque(un jour d'été en 2018 ), j'ai pensé à reformuler tout le paragraphe.
Voila maintenant mon texte.
Les images montrant des espèces mangeant des déchets ou prisonniers de sacs de plastiques ont fait le tour du monde et suscité de multiples réactions.
Aujourd’hui, nous ne pouvons pas dire à nos enfants et aux générations à venir que nous n’étions pas au courant des dangers engendrés par le plastique ou qu’on ne pouvait pas réagir face à ce phénomène dangereux que ce soit pour l’être humain, les animaux ou pour la nature.
Dans un rapport publié en 2018, les Nations Unies ont voulu tirer la sonnette d’alarme sur la pollution des océans par les déchets en plastique qui reste selon ce document l’un des plus grands fléaux environnementaux de notre temps.
D’où la question : Pouvons–nous dire que l’âge du plastique à tout-va touche à sa fin ?
L’Alliance internationale pour l’élimination des déchets plastiques a vu le jour en été 2018. Cette organisation regroupe une trentaine d’entreprises internationales, et a fixé comme objectif majeur, dès le début de ces activités, le traitement des problèmes liés à cette matière.
L’opinion publique et les ONG ont joué un rôle crucial dans la guerre contre le plastique. De plus, elles ont poussé les gouvernements, les organisations internationales et les grandes firmes à prendre au sérieux les problèmes de cette matière. Par ailleurs, nous remarquons de nos jours un changement radical d’habitudes de consommation. À cela s’ajoute une interdiction graduelle de l’usage de plastique.
La Surfrider Foundation a inauguré en 2011 l’opération « Ban the Bag » («Interdisons les sacs»). Le résultat de cette campagne fut une directive européenne en 2015 incitant les pays membres à réduire l’usage de sacs plastiques. Dans l’Hexagone, on a interdit complètement les sacs de caisse en plastique dans les grandes surfaces à partir du premier juillet 2016.
Les plastiques d’emballage à usage unique ont représenté en 2016, d’après un document du WWF, 40% de la production mondiale, et ils occupent une bonne place parmi les 8 millions de tonnes de plastiques qui ont comme destination finale les océans.
C’est la raison pour laquelle 170 pays se sont mis d’accord en mars de cette année à Nairobi pour réduire les plastiques a usage unique d’ici à 2030. L’Union Européenne a franchi le pas en interdisant définitivement ces plastiques à partir de 2021.
L’accélération des interdictions s’explique par l’émergence d’un risque sanitaire.
En 2018, les Nations Unies ont mis le doigt sur la possibilité de la perméabilité de notre chaine alimentaire au plastique par l’intermédiaire des microplastiques consommés par les poissons et aux produits chimiques ajoutés lors de la fabrication du plastique.
Réponse : Demande de correction de gerondif, postée le 24-04-2019 à 20:05:44 (S | E)
Bonsoir
ok, rien à redire.
Je ne suis pas sûr qu'on userait du "on" dans un article :
Dans l’Hexagone, on a interdit complètement les sacs de caisse en plastique dans les grandes surfaces à partir du premier juillet 2016.
Je verrais plutôt :
Dans l’Hexagone, les sacs de caisse en plastique dans les grandes surfaces ont été définitivement interdits à partir du premier juillet 2016.
Réponse : Demande de correction de lakuob, postée le 25-04-2019 à 12:15:13 (S | E)
Bonjour,
l'expression (on a interdit) ne se trouve pas dans l'article original. C'est le fameux journaliste lakuob qui a utilisé cette fabuleuse expression littéraire(je rigole!). Je trouve que j'utilise trop souvent ce pronom on, malgrè que je sais que cela représente un point négatif dans un texte.
Je sais pas comment je peux la remplacer dans mes prochaines productions écrite, ou comment je peux me débarasser de cette habitude.
Merci beaucoup pour votre aide et je vous je souhaite une excellente journée. Voila mon texte finale
Les images montrant des espèces mangeant des déchets ou prisonniers de sacs de plastiques ont fait le tour du monde et suscité de multiples réactions.Aujourd’hui, nous ne pouvons pas dire à nos enfants et aux générations à venir que nous n’étions pas au courant des dangers engendrés par le plastique ou qu’on ne pouvait pas réagir face à ce phénomène dangereux que ce soit pour l’être humain, les animaux ou pour la nature.Dans un rapport publié en 2018, les Nations Unies ont voulu tirer la sonnette d’alarme sur la pollution des océans par les déchets en plastique qui reste selon ce document l’un des plus grands fléaux environnementaux de notre temps.D’où la question : Pouvons–nous dire que l’âge du plastique à tout-va touche à sa fin ?L’Alliance internationale pour l’élimination des déchets plastiques a vu le jour en été 2018. Cette organisation regroupe une trentaine d’entreprises internationales, et a fixé comme objectif majeur, dès le début de ces activités, le traitement des problèmes liés à cette matière.L’opinion publique et les ONG ont joué un rôle crucial dans la guerre contre le plastique. De plus, elles ont poussé les gouvernements, les organisations internationales et les grandes firmes à prendre au sérieux les problèmes de cette matière. Par ailleurs, nous remarquons de nos jours un changement radical d’habitudes de consommation. À cela s’ajoute une interdiction graduelle de l’usage de plastique.La Surfrider Foundation a inauguré en 2011 l’opération « Ban the Bag » («Interdisons les sacs»). Le résultat de cette campagne fut une directive européenne en 2015 incitant les pays membres à réduire l’usage de sacs plastiques. Dans l’Hexagone, les sacs de caisse en plastique dans les grandes surfaces ont été définitivement interdits à partir du premier juillet 2016.
Les plastiques d’emballage à usage unique ont représenté en 2016, d’après un document du WWF, 40% de la production mondiale, et ils occupent une bonne place parmi les 8 millions de tonnes de plastiques qui ont comme destination finale les océans.C’est la raison pour laquelle 170 pays se sont mis d’accord en mars de cette année à Nairobi pour réduire les plastiques a usage unique d’ici à 2030. L’Union Européenne a franchi le pas en interdisant définitivement ces plastiques à partir de 2021.L’accélération des interdictions s’explique par l’émergence d’un risque sanitaire.En 2018, les Nations Unies ont mis le doigt sur la possibilité de la perméabilité de notre chaine alimentaire au plastique par l’intermédiaire des microplastiques consommés par les poissons et aux produits chimiques ajoutés lors de la fabrication du plastique.
Réponse : Demande de correction de jij33, postée le 25-04-2019 à 14:46:42 (S | E)
Bonjour lakuob
Je laisse à gerondif le soin de vous aider à corriger votre texte s'il y a lieu de le faire et je répondrai seulement à cela : "Je trouve que j'utilise trop souvent ce pronom on,
Je ne sais pas comment je peux
Gerondif vous a conseillé de tourner votre phrase à la voix passive. C'est une possibilité. En voici d'autres :
- le pronom personnel indéfini "on" ne devrait jamais remplacer le pronom personnel "nous". Chaque fois que le narrateur fait partie du groupe dont il parle, il faut employer nous à l'écrit : mon frère, deux amis et moi, nous sommes allés au cinéma hier soir, et non "on est allés". D'ailleurs, "on" étant un singulier, on se demande pourquoi il faudrait accorder "allé" au pluriel. Cet emploi de "on" à la place de "nous" est trop familier à l'écrit, sauf éventuellement dans un dialogue.
- on peut aussi remplacer "on" ou "je" par un "nous" de modestie au cours d'une dissertation : nous avons vu que, nous développerons ensuite...
- "on" s'emploie aussi au sens général de "tout le monde", comme dans les phrases ci-dessus où il est surligné en bleu. C'est alors un pronom indéfini, c'est-à-dire que l'on ne peut nommer les personnes dont il est question dans ce "on" : j'ai laissé mon vélo dans la rue et on me l'a volé.
L'emploi de "on" n'est donc pas toujours négatif !
Réponse : Demande de correction de gerondif, postée le 25-04-2019 à 15:00:17 (S | E)
Bonjour
Jij33 ayant traité votre introduction et l'usage du on (on aurait pu dire aussi : le gouvernement a interdit...)
voyons le texte.
Les images montrant des espèces mangeant des déchets ou prisonniers de sacs de plastiques ont fait le tour du monde et suscité de multiples réactions.Aujourd’hui, nous ne pouvons pas dire à nos enfants et aux générations à venir que nous n’étions pas au courant des dangers engendrés par le plastique ou qu’on ne pouvait pas réagir face à ce phénomène dangereux que ce soit pour l’être humain, les animaux ou pour la nature.Dans un rapport publié en 2018, les Nations Unies ont voulu tirer la sonnette d’alarme sur la pollution des océans par les déchets en plastique qui reste selon ce document l’un des plus grands fléaux environnementaux de notre temps.D’où la question : Pouvons–nous dire que l’âge du plastique à tout-va touche à sa fin ?L’Alliance internationale pour l’élimination des déchets plastiques a vu le jour en été 2018. Cette organisation regroupe une trentaine d’entreprises internationales, et a fixé comme objectif majeur, dès le début de ces activités, le traitement des problèmes liés à cette matière.L’opinion publique et les ONG ont joué un rôle crucial dans la guerre contre le plastique. De plus, elles ont poussé les gouvernements, les organisations internationales et les grandes firmes à prendre au sérieux les problèmes de cette matière. Par ailleurs, nous remarquons de nos jours un changement radical d’habitudes de consommation. À cela s’ajoute une interdiction graduelle de l’usage de plastique.La Surfrider Foundation a inauguré en 2011 l’opération « Ban the Bag » («Interdisons les sacs»). Le résultat de cette campagne fut une directive européenne en 2015 incitant les pays membres à réduire l’usage de sacs plastiques. Dans l’Hexagone, les sacs de caisse en plastique dans les grandes surfaces ont été définitivement interdits à partir du premier juillet 2016.
Les plastiques d’emballage à usage unique ont représenté en 2016, d’après un document du WWF, 40% de la production mondiale, et ils occupent une bonne place parmi les 8 millions de tonnes de plastiques qui ont comme destination finale les océans.C’est la raison pour laquelle 170 pays se sont mis d’accord en mars de cette année à Nairobi pour réduire les plastiques a usage unique d’ici à 2030. L’Union Européenne a franchi le pas en interdisant définitivement ces plastiques à partir de 2021.L’accélération des interdictions s’explique par l’émergence d’un risque sanitaire.En 2018, les Nations Unies ont mis le doigt sur la possibilité de la perméabilité de notre chaine alimentaire au plastique par l’intermédiaire des microplastiques consommés par les poissons et aux produits chimiques ajoutés lors de la fabrication du plastique.
On a du mal a suivre la dernière phrase, aux produits chimiques est bien loin de perméabilité. Il faudrait simplifier :
En 2018, les Nations Unies ont mis en lumière la perméabilité potentielle /potentiellement dangereuse/ de notre chaine alimentaire aux microplastiques consommés par les poissons et aux produits chimiques ajoutés lors de la fabrication du plastique.
Réponse : Demande de correction de lakuob, postée le 25-04-2019 à 23:40:57 (S | E)
Bonjour,
Merci beaucoup jiji33 et gérondif pour vos explications. Permettez moi de vous demander une chose, comment est-ce que je peux profiter et apprendre au maximum de vos explications et corrections que vous me faites. Lorsque vous me donnez le feu vert de poster un nouveau texte, je rédige tout d’abord l’ancien avec les mots que j’ai appris dans l’article de journal. En effet, je fais partie de l’ancienne génération qui a appris en cahier et en stylo.
Je lis vos explications, et vos rectifications plusieurs fois. Je sais pas si a force d’écrire souvent, je vais assimiler ses rectifications automatiquement. Cependant, je n'ai pas envie de répéter les mêmes fautes chaque fois.
J'ai pensé à noter chaque remarques à côté, a fin de ne pas les oublier.
Je trouve que j'utilise trop souvent ce pronom on, bien que je sache que cela représente un point négatif dans un texte. Je ne sais pas comment je peux le remplacer dans mes prochaines productions écrites, ou comment je peux me débarrasser de cette habitude."
Les images montrant des espèces mangeant des déchets ou prisonniers de sacs de plastiques ont fait le tour du monde et suscité de multiples réactions.Aujourd’hui, nous ne pouvons pas dire à nos enfants et aux générations à venir que nous n’étions pas au courant des dangers engendrés par le plastique ou qu’on ne pouvait pas réagir face à ce phénomène dangereux que ce soit pour l’être humain, les animaux ou pour la nature.Dans un rapport publié en 2018, les Nations Unies ont voulu tirer la sonnette d’alarme sur la pollution des océans par les déchets en plastique qui reste selon ce document l’un des plus grands fléaux environnementaux de notre temps.D’où la question : Pouvons–nous dire que l’âge du plastique à tout-va touche à sa fin ?L’Alliance internationale pour l’élimination des déchets plastiques a vu le jour en été 2018. Cette organisation regroupe une trentaine d’entreprises internationales, et a fixé comme objectif majeur, dès le début de ces activités, le traitement des problèmes liés à cette matière.L’opinion publique et les ONG ont joué un rôle crucial dans la guerre contre le plastique. De plus, elles ont poussé les gouvernements, les organisations internationales et les grandes firmes à prendre au sérieux les problèmes de cette matière. Par ailleurs, nous remarquons de nos jours un changement radical d’habitudes de consommation. À cela s’ajoute une interdiction graduelle de l’usage de plastique.La Surfrider Foundation a inauguré en 2011 l’opération « Ban the Bag » («Interdisons les sacs»). Le résultat de cette campagne fut une directive européenne en 2015 incitant les pays membres à réduire l’usage de sacs plastiques. Dans l’Hexagone, les sacs de caisse en plastique dans les grandes surfaces ont été définitivement interdits à partir du premier juillet 2016.
Les plastiques d’emballage à usage unique ont représenté en 2016, d’après un document du WWF, 40% de la production mondiale, et ils occupent une bonne place parmi les 8 millions de tonnes de plastiques qui ont comme destination finale les océans.C’est la raison pour laquelle 170 pays se sont mis d’accord en mars de cette année à Nairobi pour réduire les plastiques a usage unique d’ici à 2030. L’Union Européenne a franchi le pas en interdisant définitivement ces plastiques à partir de 2021.L’accélération des interdictions s’explique par l’émergence d’un risque sanitaire.
En 2018, les Nations Unies ont mis en lumière la perméabilité potentielle /potentiellement dangereuse/ de notre chaine alimentaire aux microplastiques consommés par les poissons et aux produits chimiques ajoutés lors de la fabrication du plastique.
Réponse : Demande de correction de gerondif, postée le 26-04-2019 à 10:21:24 (S | E)
Bonjour
Difficile de vous donner des conseils ou de se mettre à votre place, chacun a sa manière d'apprendre et fait ce qui marche pour lui.
Un collègue me disait qu'il y a les visuels et les auditifs, moi, je dois être un visuel, j'aime bien organiser sur le papier ce que je dois apprendre. J'ai par exemple décortiqué par le menu par écrit la procédure de sauvetage d'un apnéiste en syncope avant mon examen d'hier soir, en répétant à vide dans mon bureau...
Quand vous recopiez une correction, choisissez quand il y a plusieurs options comme : la perméabilité potentielle /potentiellement dangereuse/ de notre chaine alimentaire.
Je sais pas (je NE sais pas) si a (à) force d’écrire souvent, je vais assimiler ses ces rectifications automatiquement. Cependant, je n'ai pas envie de répéter les mêmes fautes chaque fois.
J'ai pensé à noter chaque remarques(singulier) à côté, a fin (afin) de ne pas les oublier.
Réponse : Demande de correction de lakuob, postée le 26-04-2019 à 23:10:40 (S | E)
Bonsoir,
merci beaucoup gérondif, cela veut dire, qu 'il faut essayer beaucoup de méthodes d'apprentissages et voire la plus efficace. De plus, il faut developper sa propre méthode.
Je te souhaite un bon week-end, essayerai de préparer un n'autre pendant ce week-end, et apprendre beaucoup de français. Merci du fond du coeur!!!
Je ne sais pas si à force d’écrire souvent, je vais assimiler ces rectifications automatiquement. Cependant, je n'ai pas envie de répéter les mêmes fautes chaque fois.
J'ai pensé à noter chaque remarque à côté, afin de ne pas les oublier.
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