Correction : Lettre au journal
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Message de soumia01 posté le 13-10-2020 à 16:16:55 (S | E | F)
salut tout le monde, aidez-moi
Bonjour !
Pouvez-vous, s'il vous plaît, m'aider à corriger ce sujet ?
Merci d'avance.
Fidèle lecteur de votre journal et notamment la rubrique de culture générale, qui me permet de m’enrichir quotidiennement. Aujourd’hui, je vous écris pour émettre quelques réflexions au sujet de l’article publié le 23 août dernier, dans lequel vous disiez : « les jeunes entre 15 et 24 ans continuent à vivre avec leurs parents pour le confort uniquement ». En fait, je ne partage pas votre avis à ce sujet et ce, pour trois raisons principales. Tout d’abord, les circonstances sociales difficiles contribuent à l’insertion tardive. Autrement dit, à cause des différentes raisons, le jeune ne peut pas quitter le domicile de ses parents comme les études prolongées, le chômage et le pris élevé de loyer. Ensuite, les conditions sanitaires des parents peuvent aussi accentuer ce retard. Comme on le sait, que les parents âgés sont en générale vulnérables et exposés aux différents risques sanitaires comme les maladies chroniques, cela pousse une tranche de jeunes de rester avec, pour s’occuper d’eux. Enfin, d’autres jeunes préfèrent rester avec leurs parents pour des raisons de convivialité, ils veulent se rappeler toujours de bons moments vécus à l’enfance. Ils se sentent plus heureux avec leurs parents en partageant ensemble même l’éducation des enfants. Par exemple leurs petits enfants peuvent dormir en toute sérénité en écoutant les contes de grands parents. En conclusion, les jeunes continuent de vivre avec leurs parents, pas pour des raisons de confort, mais de convivialité et de revivre les bons moments vécus à l’enfance et aussi, pour des raisons sociales difficiles. Je comprends que d’autres lecteurs et lectrices ne soient pas du même avis que moi. Cependant, j’espère voir ma lettre publiée dans votre journal pour enrichir le sujet et susciter le débat sur le sujet qui sera certainement riche d’enseignements. Veuillez agréer, Monsieur le rédacteur en chef, mes salutations distinguées.
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Modifié par bridg le 13-10-2020 16:47
Formulation polie de la demande.
Message de soumia01 posté le 13-10-2020 à 16:16:55 (S | E | F)
Bonjour !
Pouvez-vous, s'il vous plaît, m'aider à corriger ce sujet ?
Merci d'avance.
Fidèle lecteur de votre journal et notamment la rubrique de culture générale, qui me permet de m’enrichir quotidiennement. Aujourd’hui, je vous écris pour émettre quelques réflexions au sujet de l’article publié le 23 août dernier, dans lequel vous disiez : « les jeunes entre 15 et 24 ans continuent à vivre avec leurs parents pour le confort uniquement ». En fait, je ne partage pas votre avis à ce sujet et ce, pour trois raisons principales. Tout d’abord, les circonstances sociales difficiles contribuent à l’insertion tardive. Autrement dit, à cause des différentes raisons, le jeune ne peut pas quitter le domicile de ses parents comme les études prolongées, le chômage et le pris élevé de loyer. Ensuite, les conditions sanitaires des parents peuvent aussi accentuer ce retard. Comme on le sait, que les parents âgés sont en générale vulnérables et exposés aux différents risques sanitaires comme les maladies chroniques, cela pousse une tranche de jeunes de rester avec, pour s’occuper d’eux. Enfin, d’autres jeunes préfèrent rester avec leurs parents pour des raisons de convivialité, ils veulent se rappeler toujours de bons moments vécus à l’enfance. Ils se sentent plus heureux avec leurs parents en partageant ensemble même l’éducation des enfants. Par exemple leurs petits enfants peuvent dormir en toute sérénité en écoutant les contes de grands parents. En conclusion, les jeunes continuent de vivre avec leurs parents, pas pour des raisons de confort, mais de convivialité et de revivre les bons moments vécus à l’enfance et aussi, pour des raisons sociales difficiles. Je comprends que d’autres lecteurs et lectrices ne soient pas du même avis que moi. Cependant, j’espère voir ma lettre publiée dans votre journal pour enrichir le sujet et susciter le débat sur le sujet qui sera certainement riche d’enseignements. Veuillez agréer, Monsieur le rédacteur en chef, mes salutations distinguées.
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Modifié par bridg le 13-10-2020 16:47
Formulation polie de la demande.
Réponse : Correction : Lettre au journal de jij33, postée le 13-10-2020 à 16:43:11 (S | E)
Bonjour soumia01
Fidèle lecteur de votre journal et notamment la rubrique de culture générale, qui me permet de m’enrichir quotidiennement.(remplacer le point par une virgule) Aujourd’hui (après "je vous écris"), je vous écris pour émettre quelques réflexions au sujet de l’article publié le 23 août dernier, dans lequel vous disiez : « les jeunes entre 15 et 24 ans continuent à vivre avec leurs parents pour le confort uniquement ». En fait, je ne partage pas votre avis à ce sujet et ce, pour trois raisons principales. Tout d’abord, les circonstances sociales difficiles contribuent à l’insertion tardive. Autrement dit, à cause des (préposition et non déterminant indéfini) différentes raisons, le jeune ne peut pas quitter le domicile de ses parents (à placer au début de la phrase, juste après "autrement dit") comme les études prolongées, le chômage et le pris (orthographe) élevé de loyer (au pluriel). Ensuite, les conditions sanitaires des parents peuvent aussi accentuer ce retard. Comme on le sait, que (supprimer) les parents âgés sont en générale (orthographe) vulnérables et exposés aux différents risques sanitaires comme les maladies chroniques, (point) cela pousse une tranche de jeunes de (autre préposition) rester avec eux, pour s’occuper d’eux. Enfin, d’autres jeunes préfèrent rester avec leurs parents pour des raisons de convivialité, ils veulent se rappeler toujours de (le verbe se rappeler est transitif direct : pas de préposition, mais l'article (ou déterminant) masculin pluriel) bons moments vécus à (autre préposition) l’enfance. Ils se sentent plus heureux avec leurs parents en partageant ensemble même (inutile) l’éducation des enfants. Par exemple leurs petits (trait d'union)enfants peuvent dormir en toute sérénité en écoutant les contes de (contraction de de + les) grands(trait d'union) parents. En conclusion, les jeunes continuent de vivre avec leurs parents, pas (on dit "non pour...) pour des raisons de confort, mais de convivialité et de revivre les bons moments vécus à l’enfance (rupture de construction : il faudrait un troisième nom après confort et convivialité. En outre, vous répétez sous la même forme ce que vous avez dit plus haut) et aussi, pour des raisons sociales difficiles. Je comprends que d’autres lecteurs et lectrices ne soient pas du même avis que moi. Cependant, j’espère voir ma lettre publiée dans votre journal pour enrichir le sujet et susciter le (plutôt le déterminant indéfini, puisque ce débat n'a pas encore eu lieu et que l'on ne sait pas s'il aura lieu) débat sur le sujet (supprimer pour éviter la répétition) qui sera certainement riche d’enseignements. Veuillez agréer, Monsieur le rédacteur en chef, mes salutations distinguées.
Merci de renvoyer votre texte corrigé, comme c'est l'usage sur ce forum .
Réponse : Correction : Lettre au journal de soumia01, postée le 14-10-2020 à 14:18:07 (S | E)
Merci jij33 pour la correction
Fidèle lecteur de votre journal et notamment la rubrique de culture générale, qui me permet de m’enrichir quotidiennement, aujourd’hui je vous écris pour émettre quelques réflexions au sujet de l’article publié le 23 août dernier, dans lequel vous disiez : « les jeunes entre 15 et 24 ans continuent à vivre avec leurs parents pour le confort uniquement ». En fait, je ne partage pas votre avis à ce sujet et ce, pour trois raisons principales. Tout d’abord, les circonstances sociales difficiles contribuent à l’insertion tardive. Autrement dit, le jeune ne peut pas quitter le domicile de ses parents à cause de différentes raisons, comme les études prolongées, le chômage et le prix élevé de loyers .Ensuite, les conditions sanitaires des parents peuvent aussi accentuer ce retard. Comme on le sait, les parents âgés sont en général vulnérables et exposés aux différents risques sanitaires comme les maladies chroniques. Cela pousse une tranche de jeunes à rester avec eux, pour s’occuper d’eux. Enfin, d’autres jeunes préfèrent rester avec leurs parents pour des raisons de convivialité, ils veulent se rappeler toujours les bons moments vécus dans l’enfance. Ils se sentent plus heureux avec leurs parents en partageant ensemble l’éducation des enfants. Par exemple leurs petits-enfants peuvent dormir en toute sérénité en écoutant les contes des grands-parents. En conclusion, les jeunes continuent de vivre avec leurs parents, non pour des raisons de confort, mais de convivialité et de souvenirs de l’enfance et aussi, pour des raisons sociales difficiles. Je comprends que d’autres lecteurs et lectrices ne soient pas du même avis que moi. Cependant, j’espère voir ma lettre publiée dans votre journal pour enrichir le sujet et susciter un débat qui sera certainement riche d’enseignements. Veuillez agréer, Monsieur le rédacteur en chef, mes salutations distinguées.
Réponse : Correction : Lettre au journal de jij33, postée le 15-10-2020 à 00:19:17 (S | E)
Bonsoir soumia01
Fidèle lecteur de votre journal et notamment de la rubrique de culture générale, qui me permet de m’enrichir quotidiennement, aujourd’hui (plutôt après le verbe écrire) je vous écris pour émettre (correct, mais, en général, on émet des réserves, et non des réflexions ; essayez de trouver un verbe qui conviendra mieux) quelques réflexions au sujet de l’article publié le 23 août dernier, dans lequel vous disiez : « les jeunes entre 15 et 24 ans continuent à vivre avec leurs parents pour le confort uniquement ». En fait, je ne partage pas votre avis à ce sujet et ce, pour trois raisons principales. Tout d’abord, les circonstances sociales difficiles contribuent à l’insertion tardive. Autrement dit, le jeune ne peut pas quitter le domicile de ses parents à cause de différentes raisons, comme les études prolongées, le chômage et le prix élevé de loyers (pas d'espace avant un point, mais espace après) .Ensuite, les conditions sanitaires des parents peuvent aussi accentuer ce retard. Comme on le sait, les parents âgés sont en général vulnérables et exposés aux différents risques sanitaires comme les maladies chroniques. Cela pousse une tranche de jeunes à rester avec eux, pour s’occuper d’eux. Enfin, d’autres jeunes préfèrent rester avec leurs parents pour des raisons de convivialité, (point-virgule) ils veulent se rappeler (correct, mais je dirais raviver) toujours (inutile) les bons moments vécus dans l’enfance. Ils se sentent plus heureux avec leurs parents en partageant ensemble l’éducation des enfants. Par exemple (virgule) leurs (plutôt "les", parce qu'on peut penser qu'il s'agit des petits-enfants de la deuxième génération de la famille) petits-enfants peuvent dormir en toute sérénité en écoutant les contes des grands-parents. En conclusion, les jeunes continuent de vivre avec leurs parents, non pour des raisons de confort, mais de convivialité et de souvenirs de l’enfance et aussi, pour des raisons sociales difficiles. Je comprends que d’autres lecteurs et lectrices ne soient pas du même avis que moi. Cependant, j’espère voir ma lettre publiée dans votre journal pour enrichir le sujet et susciter un débat qui sera certainement riche d’enseignements. Veuillez agréer, Monsieur le rédacteur en chef, mes salutations distinguées.
Votre texte d'origine était déjà très compréhensible. Votre deuxième version est quasiment parfaite. Encore un petit effort et elle le sera...
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