Correction : interview

Bonjour et merci beaucoup de m'avoir aidé à corriger ce texte et tes recommandation m'ont servi beaucoup. J'ai connu beaucoup de choses grâce à toi. Voici ma correction sur ton rétroalimentation.

Journaliste : Bonjour, nous voici enfin réunis ! Nous vous remercions de votre collaboration pour un article qui sera publié dans plusieurs journaux régionaux. Nous savons avant tout que vous avez fait preuve de solidarité et que vous avez pensé au début que vous ne pourriez pas résoudre les problèmes concernant l'éducation des enfants.

Lucie : Oui, justement. C'est ce dont nous nous occupons dans notre livre où nous racontons les problèmes que rencontrent tous les jours les enfants nigériens concernant l’éducation. Il y a beaucoup de groupes de travail : le mien s'occupe des enfants nigériens de 6 à 8 ans et celui de Paul, des adolescents.

Paul : Le mois dernier, par exemple, j’ai dû travailler avec un petit groupe d'adolescents qui n’ont jamais entendu le mot "école".

Je les ai vues quand ils transportaient des pierres pour construire un pont, ils étaient des ouvriers ! Il faut des actions sérieuses ! 

Journaliste : Quelles sont les actions ou les démarches à suivre pour faire face à ce problème ?

Lucie : D'abord, il est nécessaire que les autorités nationales et régionales fassent des statistiques et qu'elles donnent les résultats à l'Unicef. Puis, immédiatement, les autorités sanitaires devront s'occuper des filles et de la sexualité.

Nous avons vu beaucoup de drames, mais le plus grave est celui des filles de 9 ou 10 ans qui sont déjà mères et qui très souvent se font agresser par leurs

mères !

Journaliste : Et vous vous mobilisez constamment pour lutter contre cette violence sur ces filles ?

Jean : Oui, bien sûr, surtout quand nous constatons que les objectifs qui ont été fixés par les Nations Unies en 2000 ont des résultats si pénibles.