Correction compte rendu
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Message de ebcn posté le 15-10-2015 à 17:25:59 (S | E | F)
Bonjour.
Dans quelques jours, je dois rendre ce compte-rendu. Pourriez-vous m’aider à le corriger, s’il vous plaît ?
Il s’agit du compte rendu du livre « Au revoir là-haut ». Si vous ne l’avez pas lu le livre, ne lisez pas le compte rendu. Je ne voudrais pas vous gâcher la lecture du livre
Je vous réemercie de votre aide. À bientôt !
C’est la fin de l’an 1918. La première guerre mondiale est presque finie. Nonobstant, sur prétexte de la mort de deux soldats qui, en fait, il a tué, le lieutenant d’Aulnay-Pradelle, pour gagner prestige militaire, lance ses soldats à l’assaut suicide d’un bout de terrain.
Malheureusement pour le soldat Albert, il est témoin de la manouvre maligne de Pradelle. C’est alors que Pradelle cherche à tuer Albert, qui le dernier instant est sauvé par un autre soldat, Éduard, frappé à son tour par un obus qui détruit son visage.
À cause de ces dramatiques circonstances les vies des trois personnages se mêlent après la guerre : Éduard refuse de retourner avec sa famille bourgeoise, parce qu’il n’est pas capable de confronter son père, et il devient complétement dépendant d’Albert, qui doit le fournir non seulement avec nourriture et toit, mais aussi avec les drogues à lesquelles Éduard s’est habitué. Ils sont deux soldats qui, rentrés à Paris, sont marginalisés par la société dans le cas d’Albert ou par l’impossibilité de retourner à sa vie avant la guerre dans le cas d’Éduard.
De son côté, Pradelle paraît avoir bien réussi en mariant la sœur d’Éduard, à qu’il n’aime pas, mais qui lui offrit argent et connexions au plus haut niveau de l’échelle sociale, malgré la haine de son beau-père.
Toujours ambitieux, Pradelle obtient un contrat publique pour s’occuper des cimentières des soldats morts pendant la guerre. Étant un homme sans scrupules, il profite pour en tirer plus d’argent en offrant un très mauvais service. La dénonce d’un fonctionnaire honnête marque sa chute. Il est abandonné par sa femme, son beau-père et ses connexions.
Éduard veut aussi profiter la guerre pour faire un grand coup d’effet et devenir riche en se moquant d’une société qui parait avoir plus envie d’hommager les morts que de s’occuper des survivants. Il planifie une grande escroquerie pour vendre par toute la France des monuments à la mémoire des soldats morts pendant la guerre. Albert, malgré ses doutes, participe finalement à ces plans criminels qui, contre tout espoir, réussissent.
En un climax final dramatique, Éduard meurt écrasé par son père tandis qu’Albert fuit la France avec son amoureuse et une bonne quantité d’argent.
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Modifié par bridg le 15-10-2015 18:20
Message de ebcn posté le 15-10-2015 à 17:25:59 (S | E | F)
Bonjour.
Dans quelques jours, je dois rendre ce compte-rendu. Pourriez-vous m’aider à le corriger, s’il vous plaît ?
Il s’agit du compte rendu du livre « Au revoir là-haut ». Si vous ne l’avez pas lu le livre, ne lisez pas le compte rendu. Je ne voudrais pas vous gâcher la lecture du livre
Je vous réemercie de votre aide. À bientôt !
C’est la fin de l’an 1918. La première guerre mondiale est presque finie. Nonobstant, sur prétexte de la mort de deux soldats qui, en fait, il a tué, le lieutenant d’Aulnay-Pradelle, pour gagner prestige militaire, lance ses soldats à l’assaut suicide d’un bout de terrain.
Malheureusement pour le soldat Albert, il est témoin de la manouvre maligne de Pradelle. C’est alors que Pradelle cherche à tuer Albert, qui le dernier instant est sauvé par un autre soldat, Éduard, frappé à son tour par un obus qui détruit son visage.
À cause de ces dramatiques circonstances les vies des trois personnages se mêlent après la guerre : Éduard refuse de retourner avec sa famille bourgeoise, parce qu’il n’est pas capable de confronter son père, et il devient complétement dépendant d’Albert, qui doit le fournir non seulement avec nourriture et toit, mais aussi avec les drogues à lesquelles Éduard s’est habitué. Ils sont deux soldats qui, rentrés à Paris, sont marginalisés par la société dans le cas d’Albert ou par l’impossibilité de retourner à sa vie avant la guerre dans le cas d’Éduard.
De son côté, Pradelle paraît avoir bien réussi en mariant la sœur d’Éduard, à qu’il n’aime pas, mais qui lui offrit argent et connexions au plus haut niveau de l’échelle sociale, malgré la haine de son beau-père.
Toujours ambitieux, Pradelle obtient un contrat publique pour s’occuper des cimentières des soldats morts pendant la guerre. Étant un homme sans scrupules, il profite pour en tirer plus d’argent en offrant un très mauvais service. La dénonce d’un fonctionnaire honnête marque sa chute. Il est abandonné par sa femme, son beau-père et ses connexions.
Éduard veut aussi profiter la guerre pour faire un grand coup d’effet et devenir riche en se moquant d’une société qui parait avoir plus envie d’hommager les morts que de s’occuper des survivants. Il planifie une grande escroquerie pour vendre par toute la France des monuments à la mémoire des soldats morts pendant la guerre. Albert, malgré ses doutes, participe finalement à ces plans criminels qui, contre tout espoir, réussissent.
En un climax final dramatique, Éduard meurt écrasé par son père tandis qu’Albert fuit la France avec son amoureuse et une bonne quantité d’argent.
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Modifié par bridg le 15-10-2015 18:20
Réponse: Correction compte rendu de alienor64, postée le 15-10-2015 à 20:27:09 (S | E)
Bonsoir Ebcn
C’est la fin de l’an( mieux : 'année') 1918. La première guerre mondiale est presque finie. Nonobstant, sur( autre préposition) prétexte de la mort de deux soldats qui(erreur : pronom relatif complément, à élider), en fait, il a tué(accord), le lieutenant d’Aulnay-Pradelle, pour gagner (ici, préposition pour que 'gagner' prenne le sens de 'obtenir plus de ...) prestige militaire, lance ses soldats à l’assaut suicide d’un bout de terrain.
Malheureusement pour le soldat Albert , il(virgule et pronom à enlever ; mettre pronom relatif sujet) est témoin de la manouvre(orthographe) maligne de Pradelle. C’est alors que Pradelle cherche à tuer Albert, qui(virgule) le ( article contracté, contraction de ' à + le')dernier instant(autre mot) (virgule) est sauvé par un autre soldat, Eduard )(orthographe française), frappé à son tour par un obus qui détruit son visage.
À cause de ces dramatiques circonstances (virgule)les vies des trois personnages se mêlent(autre verbe : ' s'entrecroiser') après la guerre : Eduard(voir plus haut) refuse de retourner avec(autre préposition) sa famille bourgeoise, parce qu’il n’est pas capable de confronter( verbe à mettre à la voix passive + préposition) son père, et il(à enlever) devient complétement(erreur d'accent) dépendant d’Albert,(enlevez la virgule) qui doit le( pronom personnel COI) fournir non seulement avec( à enlever ; mettre article défini) nourriture et ( ici, article défini)toit, mais aussi avec( à enlever) les drogues à lesquelles(incorrect : pronom relatif composé féminin pluriel) Eduard( voir plus haut) s’est habitué. Ils sont( mieux : le présentatif : 'Ce sont') donc deux soldats qui, rentrés à Paris, sont( autre verbe : ' se retrouver') marginalisés par la société dans le cas d’Albert (virgule) ou par l’impossibilité de retourner à sa vie avant la guerre( à remplacer par 'd'avant-guerre') dans le cas d’Eduard(voir plus haut).
De son côté, Pradelle paraît avoir bien réussi en (ici, pronom personnel réfléchi)mariant (ici, préposition) la sœur d’Éduard, à( à enlever) qu’il n’aime pas, mais qui lui offrit(autre temps : passé composé) argent et connexions au plus haut niveau de l’échelle sociale, malgré la haine de son beau-père.( il manque une précision : on ignore qui hait l'autre : Pradelle ou le beau-père ? Pour cela, après 'haine' conjuguez le verbe ' vouer' (on 'voue de la haine' à quelqu'un) précédé du pronom relatif qui convient) .
Toujours ambitieux, Pradelle obtient un contrat publique(accord avec 'contrat') pour s’occuper des cimentières(orthographe) des soldats morts pendant la guerre. Étant un homme sans scrupules, il(ici, pronom personnel COI) profite pour en tirer le plus d’argent possible en offrant un très mauvais service. La dénonce( ce n'est pas la bonne orthographe : autre mot) d’un fonctionnaire honnête marque sa chute. Il est abandonné par sa femme, son beau-père et ses connexions.
Éduard veut aussi profiter (préposition)la guerre pour faire un grand coup d’effet et devenir riche en se moquant d’une société qui parait(accent circonflexe) avoir plus envie d'hommager(ce verbe n'existe pas : autre expression) les morts que de s’occuper des survivants. Il planifie une grande escroquerie pour vendre par(autre préposition) toute la France des monuments à la mémoire des soldats morts pendant la guerre. Albert, malgré ses doutes, participe finalement à ces plans criminels qui, contre tout espoir( mieux : 'toute attente'), réussissent.
En un climax(orthographe) final dramatique, Éduard meurt écrasé par son père (virgule)tandis qu’Albert fuit la France avec son amoureuse et une bonne quantité d’argent.
Bonne soirée !
Réponse: Correction compte rendu de ebcn, postée le 16-10-2015 à 13:03:06 (S | E)
J’espère avoir tout compris et corrigé!
C’est la fin de l’année 1918. La première guerre mondiale est presque finie. Nonobstant, sous prétexte de la mort de deux soldats auxquels, en fait, il a tués, le lieutenant d’Aulnay-Pradelle, pour gagner en prestige militaire, lance ses soldats à l’assaut suicide d’un bout de terrain.
Le soldat Albert est témoin de la manœuvre maligne de Pradelle. C’est alors que Pradelle cherche à tuer Albert, qui, au dernier moment, est sauvé par un autre soldat, Édouard, frappé à son tour par un obus qui détruit son visage.
À cause de ces dramatiques circonstances, les vies des trois personnages s’entrecroisent après la guerre : Édouard refuse de retourner à sa famille bourgeoise, parce qu’il n’est pas capable d’être confronté par son père, et devient complètement dépendant d’Albert qui doit lui fournir non seulement la nourriture et le toit, mais aussi les drogues auxquelles Édouard s’est habitué. Ce sont donc deux soldats qui, rentrés à Paris, se retrouvent marginalisés par la société dans le cas d’Albert, ou par l’impossibilité de retourner à sa vie d’avant-guerre dans le cas d’Édouard.
De son côté, Pradelle paraît avoir bien réussi en se mariant avec la sœur d’Édouard, qu’il n’aime pas, mais qui lui a offert argent et connexions au plus haut niveau de l’échelle sociale, malgré la haine que son beau-père lui voue.
Toujours ambitieux, Pradelle obtient un contrat public pour s’occuper des cimetières des soldats morts pendant la guerre. Étant un homme sans scrupules, lui profite pour en tirer le plus d’argent possible en offrant un très mauvais service. La dénonciation d’un fonctionnaire honnête marque sa chute. Il est abandonné par sa femme, son beau-père et ses connexions.
Édouard veut aussi profiter de la guerre pour faire un grand coup d’effet et devenir riche en se moquant d’une société qui paraît avoir plus envie de rendre hommage aux morts que de s’occuper des survivants. Il planifie une grande escroquerie pour vendre dans toute la France des monuments à la mémoire des soldats morts pendant la guerre. Albert, malgré ses doutes, participe finalement à ces plans criminels qui, contre toute attente, réussissent.
En un apogée final dramatique, Édouard meurt écrasé par son père, tandis qu’Albert fuit la France avec son amoureuse et une bonne quantité d’argent.
Réponse: Correction compte rendu de alienor64, postée le 16-10-2015 à 14:33:25 (S | E)
Bonjour Ebcn
C'est beaucoup mieux !
C’est la fin de l’année 1918. La première guerre mondiale est presque finie. Nonobstant, sous prétexte de la mort de deux soldats auxquels(erreur : il faut un pronom relatif simple complément, à élider devant 'en fait', et non un pronom relatif composé) en fait il a tués, le lieutenant d’Aulnay-Pradelle, pour gagner en prestige militaire, lance ses soldats à l’assaut suicide d’un bout de terrain.
Le soldat Albert est témoin de la manœuvre maligne de Pradelle. C'est (à enlever + majuscule au mot suivant qui commencera la phrase) alors que(à enlever) Pradelle cherche à tuer Albert, qui, au dernier moment, est sauvé par un autre soldat, Édouard, hélàs frappé à son tour par un obus qui détruit son visage.
À cause de ces dramatiques circonstances, les vies des trois personnages s’entrecroisent après la guerre : Édouard refuse de retourner à(autre préposition signifiant 'à l'intérieur de ') sa famille bourgeoise, parce qu’il n’est pas capable d’être confronté par(avec 'être confronté' : autre préposition) son père,( pas de virgule mais un point-virgule ) et(à remplacer par un pronom personnel sujet représentant 'Edouard') devient complètement dépendant d’Albert qui doit lui fournir non seulement la nourriture et le toit( c'est correct, mais en français, nous avons une expression : 'le gîte et le couvert'), mais aussi les drogues auxquelles Édouard s’est habitué. Ce sont donc deux soldats qui, rentrés à Paris, se retrouvent marginalisés (virgule)par la société dans le cas d’Albert, ou(mieux : 'et') par l’impossibilité de retourner à sa vie d’avant-guerre dans le cas d’Édouard.
De son côté, Pradelle paraît avoir bien réussi en se mariant avec la sœur d’Édouard, qu’il n’aime pas, mais qui lui a offert argent et connexions au plus haut niveau de l’échelle sociale, malgré la haine que son beau-père lui voue(à mieux exprimer en changeant l'ordre des mots : 'malgré.... que lui voue son beau-père').
Toujours ambitieux, Pradelle obtient un contrat public pour s’occuper des cimetières des soldats morts pendant la guerre. Étant un homme sans scrupules, lui(erreur : pronom personnel sujet suivi d'un pronom personnel COI mis pour : 'un contrat public') profite pour en tirer le plus d’argent possible en offrant un très mauvais service. La dénonciation d’un fonctionnaire honnête marque sa chute. Il est abandonné par sa femme, son beau-père et ses connexions haut placées.
Édouard veut aussi profiter de la guerre pour faire un grand coup d'effet(autre mot ; on dit : 'un coup d'éclat') et devenir riche en se moquant d’une société qui paraît avoir plus envie de rendre hommage aux morts que de s’occuper des survivants. Il planifie une grande escroquerie pour vendre dans toute la France des monuments à la mémoire des soldats morts pendant la guerre. Albert, malgré ses doutes, participe finalement à ces plans criminels qui, contre toute attente, réussissent.
En un apogée final dramatique(mieux : devant le nom), Édouard meurt écrasé par son père, tandis qu’Albert fuit la France avec son amoureuse et une bonne quantité d’argent.
Bonne journée !
Réponse: Correction compte rendu de ebcn, postée le 17-10-2015 à 22:37:41 (S | E)
Alienor64 !
C’est la fin de l’année 1918. La première guerre mondiale est presque finie. Nonobstant, sous prétexte de la mort de deux soldats qu’en fait il a tués, le lieutenant d’Aulnay-Pradelle, pour gagner en prestige militaire, lance ses soldats à l’assaut suicide d’un bout de terrain.
Le soldat Albert est témoin de la manœuvre maligne de Pradelle. Alors Pradelle cherche à tuer Albert, qui, au dernier moment, est sauvé par un autre soldat, Édouard, hélàs frappé à son tour par un obus qui détruit son visage.
À cause de ces dramatiques circonstances, les vies des trois personnages s’entrecroisent après la guerre : Édouard refuse de retourner dans sa famille bourgeoise, parce qu’il n’est pas capable d’être confronté à son père ; et il devient complètement dépendant d’Albert qui doit lui fournir non seulement le gîte et le couvert, mais aussi les drogues auxquelles Édouard s’est habitué. Ce sont donc deux soldats qui, rentrés à Paris, se retrouvent marginalisés, par la société dans le cas d’Albert, et ou par l’impossibilité de retourner à sa vie d’avant-guerre dans le cas d’Édouard.
De son côté, Pradelle paraît avoir bien réussi en se mariant avec la sœur d’Édouard, qu’il n’aime pas, mais qui lui a offert argent et connexions au plus haut niveau de l’échelle sociale, malgré la haine que lui voue son beau-père.
Toujours ambitieux, Pradelle obtient un contrat public pour s’occuper des cimetières des soldats morts pendant la guerre. Étant un homme sans scrupules, il lui profite pour en tirer le plus d’argent possible en offrant un très mauvais service. La dénonciation d’un fonctionnaire honnête marque sa chute. Il est abandonné par sa femme, son beau-père et ses connexions haut placées.
Édouard veut aussi profiter de la guerre pour faire un grand coup d'éclat et devenir riche en se moquant d’une société qui paraît avoir plus envie de rendre hommage aux morts que de s’occuper des survivants. Il planifie une grande escroquerie pour vendre dans toute la France des monuments à la mémoire des soldats morts pendant la guerre. Albert, malgré ses doutes, participe finalement à ces plans criminels qui, contre toute attente, réussissent.
En un dramatique apogée final, Édouard meurt écrasé par son père, tandis qu’Albert fuit la France avec son amoureuse et une bonne quantité d’argent.
Réponse: Correction compte rendu de alienor64, postée le 17-10-2015 à 23:08:03 (S | E)
Bonsoir Ebcn
C'est presque parfait !
C’est la fin de l’année 1918. La première guerre mondiale est presque finie. Nonobstant, sous prétexte de la mort de deux soldats qu’en fait il a tués, le lieutenant d’Aulnay-Pradelle, pour gagner en prestige militaire, lance ses soldats à l’assaut suicide d’un bout de terrain.
Le soldat Albert est témoin de la manœuvre maligne de Pradelle. Alors Pradelle cherche à tuer Albert, qui, au dernier moment, est sauvé par un autre soldat, Édouard, hélàs frappé à son tour par un obus qui détruit son visage.
À cause de ces dramatiques circonstances, les vies des(mieux : préposition + déterminant démonstratif : 'de ces') trois personnages s’entrecroisent après la guerre : Édouard refuse de retourner dans sa famille bourgeoise, parce qu’il n’est pas capable d’être confronté à son père ; et(à enlever) il devient complètement dépendant d’Albert qui doit lui fournir non seulement le gîte et le couvert, mais aussi les drogues auxquelles Édouard s’est habitué. Ce sont donc deux soldats qui, rentrés à Paris, se retrouvent marginalisés, par la société dans le cas d’Albert, et ou(à enlever) par l’impossibilité de retourner à sa vie d’avant-guerre dans le cas d’Édouard.
De son côté, Pradelle paraît avoir bien réussi en se mariant avec la sœur d’Édouard, qu’il n’aime pas, mais qui lui a offert argent et connexions au plus haut niveau de l’échelle sociale, malgré la haine que lui voue son beau-père.
Toujours ambitieux, Pradelle obtient un contrat public pour s’occuper des cimetières des soldats morts pendant la guerre. Étant un homme sans scrupules, il lui(erreur : 'lui' est un pronom personnel COI représentant une personne ; ici, il faut un pronom personnel COI représentant une idée ou un nom de chose ou d'animal : 'un contrat public') profite pour en tirer le plus d’argent possible en offrant un très mauvais service. La dénonciation d’un fonctionnaire honnête marque sa chute. Il est abandonné par sa femme, son beau-père et ses connexions haut placées.
Édouard veut aussi profiter de la guerre pour faire un grand coup d'éclat et devenir riche en se moquant d’une société qui paraît avoir plus envie de rendre hommage aux morts que de s’occuper des survivants. Il planifie une grande escroquerie pour vendre dans toute la France des monuments à la mémoire des soldats morts pendant la guerre. Albert, malgré ses doutes, participe finalement à ces plans criminels qui, contre toute attente, réussissent.
En un dramatique apogée final, Édouard meurt écrasé par son père, tandis qu’Albert fuit la France avec son amoureuse et une bonne quantité d’argent.
Bon week-end !
Réponse: Correction compte rendu de ebcn, postée le 18-10-2015 à 21:52:16 (S | E)
Merci beaucoup, Alienor64!
C’est la fin de l’année 1918. La première guerre mondiale est presque finie. Nonobstant, sous prétexte de la mort de deux soldats qu’en fait il a tués, le lieutenant d’Aulnay-Pradelle, pour gagner en prestige militaire, lance ses soldats à l’assaut suicide d’un bout de terrain.
Le soldat Albert est témoin de la manœuvre maligne de Pradelle. Alors Pradelle cherche à tuer Albert, qui, au dernier moment, est sauvé par un autre soldat, Édouard, hélàs frappé à son tour par un obus qui détruit son visage.
À cause de ces dramatiques circonstances, les vies de ce trois personnages s’entrecroisent après la guerre : Édouard refuse de retourner dans sa famille bourgeoise, parce qu’il n’est pas capable d’être confronté à son père ; il devient complètement dépendant d’Albert qui doit lui fournir non seulement le gîte et le couvert, mais aussi les drogues auxquelles Édouard s’est habitué. Ce sont donc deux soldats qui, rentrés à Paris, se retrouvent marginalisés, par la société dans le cas d’Albert, et par l’impossibilité de retourner à sa vie d’avant-guerre dans le cas d’Édouard.
De son côté, Pradelle paraît avoir bien réussi en se mariant avec la sœur d’Édouard, qu’il n’aime pas, mais qui lui a offert argent et connexions au plus haut niveau de l’échelle sociale, malgré la haine que lui voue son beau-père.
Toujours ambitieux, Pradelle obtient un contrat public pour s’occuper des cimetières des soldats morts pendant la guerre. Étant un homme sans scrupules, il le profite pour en tirer le plus d’argent possible en offrant un très mauvais service. La dénonciation d’un fonctionnaire honnête marque sa chute. Il est abandonné par sa femme, son beau-père et ses connexions haut placées.
Édouard veut aussi profiter de la guerre pour faire un grand coup d'éclat et devenir riche en se moquant d’une société qui paraît avoir plus envie de rendre hommage aux morts que de s’occuper des survivants. Il planifie une grande escroquerie pour vendre dans toute la France des monuments à la mémoire des soldats morts pendant la guerre. Albert, malgré ses doutes, participe finalement à ces plans criminels qui, contre toute attente, réussissent.
En un dramatique apogée final, Édouard meurt écrasé par son père, tandis qu’Albert fuit la France avec son amoureuse et une bonne quantité d’argent.
Réponse: Correction compte rendu de alienor64, postée le 18-10-2015 à 22:44:36 (S | E)
Bonsoir Ebcn
Encore un tout petit effort !
C’est la fin de l’année 1918. La première guerre mondiale est presque finie. Nonobstant, sous prétexte de la mort de deux soldats qu’en fait il a tués, le lieutenant d’Aulnay-Pradelle, pour gagner en prestige militaire, lance ses soldats à l’assaut suicide d’un bout de terrain.
Le soldat Albert est témoin de la manœuvre maligne de Pradelle. Alors(virgule) Pradelle cherche à tuer Albert, qui, au dernier moment, est sauvé par un autre soldat, Édouard, hélàs frappé à son tour par un obus qui détruit son visage.
À cause de ces dramatiques circonstances, les vies de ce(pluriel) trois personnages s’entrecroisent après la guerre : Édouard refuse de retourner dans sa famille bourgeoise, parce qu’il n’est pas capable d’être confronté à son père ; il devient complètement dépendant d’Albert qui doit lui fournir non seulement le gîte et le couvert, mais aussi les drogues auxquelles Édouard s’est habitué. Ce sont donc deux soldats qui, rentrés à Paris, se retrouvent marginalisés, par la société dans le cas d’Albert, et par l’impossibilité de retourner à sa vie d’avant-guerre dans le cas d’Édouard.
De son côté, Pradelle paraît avoir bien réussi en se mariant avec la sœur d’Édouard, qu’il n’aime pas, mais qui lui a offert argent et connexions au plus haut niveau de l’échelle sociale, malgré la haine que lui voue son beau-père.
Toujours ambitieux, Pradelle obtient un contrat public pour s’occuper des cimetières des soldats morts pendant la guerre. Étant un homme sans scrupules, il le(erreur : 'le' est un pronom personnel COD ; le pronom personnel COI qui représente 'un contrat public' est 'en') profite pour en tirer le plus d’argent possible en offrant un très mauvais service. La dénonciation d’un fonctionnaire honnête marque sa chute. Il est abandonné par sa femme, son beau-père et ses connexions haut placées.
Édouard veut aussi profiter de la guerre pour faire un grand coup d'éclat et devenir riche en se moquant d’une société qui paraît avoir plus envie de rendre hommage aux morts que de s’occuper des survivants. Il planifie une grande escroquerie pour vendre dans toute la France des monuments à la mémoire des soldats morts pendant la guerre. Albert, malgré ses doutes, participe finalement à ces plans criminels qui, contre toute attente, réussissent.
En un dramatique apogée final, Édouard meurt écrasé par son père, tandis qu’Albert fuit la France avec son amoureuse et une bonne quantité d’argent.
Bonne soirée !
Réponse: Correction compte rendu de ebcn, postée le 20-10-2015 à 11:22:32 (S | E)
Et voilà !
C’est la fin de l’année 1918. La première guerre mondiale est presque finie. Nonobstant, sous prétexte de la mort de deux soldats qu’en fait il a tués, le lieutenant d’Aulnay-Pradelle, pour gagner en prestige militaire, lance ses soldats à l’assaut suicide d’un bout de terrain.
Le soldat Albert est témoin de la manœuvre maligne de Pradelle. Alors, Pradelle cherche à tuer Albert, qui, au dernier moment, est sauvé par un autre soldat, Édouard, hélàs frappé à son tour par un obus qui détruit son visage.
À cause de ces dramatiques circonstances, les vies de ces trois personnages s’entrecroisent après la guerre : Édouard refuse de retourner dans sa famille bourgeoise, parce qu’il n’est pas capable d’être confronté à son père ; il devient complètement dépendant d’Albert qui doit lui fournir non seulement le gîte et le couvert, mais aussi les drogues auxquelles Édouard s’est habitué. Ce sont donc deux soldats qui, rentrés à Paris, se retrouvent marginalisés, par la société dans le cas d’Albert, et par l’impossibilité de retourner à sa vie d’avant-guerre dans le cas d’Édouard.
De son côté, Pradelle paraît avoir bien réussi en se mariant avec la sœur d’Édouard, qu’il n’aime pas, mais qui lui a offert argent et connexions au plus haut niveau de l’échelle sociale, malgré la haine que lui voue son beau-père.
Toujours ambitieux, Pradelle obtient un contrat public pour s’occuper des cimetières des soldats morts pendant la guerre. Étant un homme sans scrupules, il en profite pour en tirer le plus d’argent possible en offrant un très mauvais service. La dénonciation d’un fonctionnaire honnête marque sa chute. Il est abandonné par sa femme, son beau-père et ses connexions haut placées.
Édouard veut aussi profiter de la guerre pour faire un grand coup d'éclat et devenir riche en se moquant d’une société qui paraît avoir plus envie de rendre hommage aux morts que de s’occuper des survivants. Il planifie une grande escroquerie pour vendre dans toute la France des monuments à la mémoire des soldats morts pendant la guerre. Albert, malgré ses doutes, participe finalement à ces plans criminels qui, contre toute attente, réussissent.
En un dramatique apogée final, Édouard meurt écrasé par son père, tandis qu’Albert fuit la France avec son amoureuse et une bonne quantité d’argent.
Réponse: Correction compte rendu de alienor64, postée le 20-10-2015 à 12:40:34 (S | E)
Ebcn ! Cette fois-ci, il n'y a rien à enlever, rien à modifier...votre texte est en tout point parfait !
Bonne continuation !
Réponse: Correction compte rendu de ebcn, postée le 22-10-2015 à 11:26:37 (S | E)
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